C'est l'une des répliques les plus célèbres de La Cité de la Peur, et 30 ans après, son interprète n'arrive toujours pas à la prononcer

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"Quand je suis content, je vomis." "Barrez-vous, cons de mimes !" "Prenez un chewing-gum, Emile." "Non, je suis le pape et j'attends ma soeur."

Réalisé en 1994 par Alain Berbérian, Alain Chabat et toute la troupe des Nuls, La Cité de la peur est un véritable festival ("toute cette pression") de répliques mythiques. Des expressions que les aficionados du film se plaisent toujours à ressortir entre amis, même 30 ans plus tard.

Amoureusement concoctées par la plume facétieuse d'Alain Chabat et fortement inspirées par l'humour absurde des ZAZ (notamment connus pour Y a-t-il un pilote dans l'avion ?), ces multiples punchlines qui ne cessent de fuser à l'écran pendant les 100 minutes du long métrages constituent en effet de véritables références pour de nombreux fans.

Parmi ces innombrables petites phrases, l'une des plus célèbres reste sans aucun doute celle que (tente de) prononce(r) le projectionniste Emile Gravier, interprété par Sam Karmann, lorsqu'il se retrouve face à Odile Deray et se remémore un rendez-vous raté avec elle.

"On peut tromper une fois mille personnes, mais on ne peut pas tromper mille fois une personne..."

Cette réplique mémorable et hilarante, que le personnage n'arrive finalement jamais à prononcer correctement et qui réapparait en fil rouge tout au long du film, figure parmi celles que les inconditionnels du film des Nuls ressortent le plus souvent.

C'est ainsi qu'hier, alors qu'il était de retour sur la Croisette, le comédien…

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Vous avez sûrement déjà ressorti cette réplique entre amis ! Prononcée il y a 22 ans par Gérard Darmon, c'est l'une des meilleures de Mission Cléopâtre

"Quand je suis content…" : vous connaissez forcément la fin de cette réplique, prononcée il y a 30 ans dans cette célèbre comédie française