"C'est l'histoire d'une jeune femme noire" : pour sa créatrice Shonda Rimes, La Reine Charlotte est une série en costumes qui fait vraiment sens aujourd'hui
On connaît Shonda Rimes pour un paquet de séries cultes - Grey's Anatomy, Scandal, Private Practice - et la showrunneuse la plus célèbre d'Amérique revient avec La Reine Charlotte, spin off hyper attendu des Chroniques de Bridgerton. Une série historique, romantique... Et politique. Oui oui, carrément.
Si vous n'êtes jamais vraiment parti de Bridgerton, on se doute que l'annonce de La reine Charlotte a du vous faire vibrer : un spin off de La Chronique des Bridgerton qui cartonne sur Netflix, et totalement géré par une créatrice de renom avec ça - la célèbre Shonda Rimes. La showrunneuse de Grey's Anatomy et Scandal apporte sa patte dans ce nouveau show qui se veut à la fois historique, romantique, et politique. Oui, rien que ça.
Intime et politique, on le répète, par le seul choix de son héroïne : la Reine Charlotte du titre, dont nous suivons minutieusement l'arrivée au pouvoir. Une jeune femme noire et puissante, mais aussi vulnérable et complexe. C'est peut être sa créatrice elle-même qui en parle le mieux en fait : " Je voulais raconter l'histoire de cette jeune femme de couleur arrivant dans ce monde qu'elle n'aurait jamais imaginé explorer", raconte Shonda Rimes dans les pages d'Entertainment Weekly. Un récit finalement intemporel sur la condition des femmes racisées.
C'est peut-être là la force de La Reine Charlotte : ce postulat de récit d'époque, tendance film à costumes à la Jane Austen ou Emily Bronté, mais qui aurait pu tout aussi bien convenir à une histoire actuelle. Surtout parce que la showrunneuse s'intéresse moins à l'époque qu'à l'individu marginalisé qui la traverse, Charlotte.
Un être solitaire en qui beaucoup de femmes peuvent se reconnaître : "Littéralement, chaque...
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