Centrafrique : la crise oubliée

La Centrafrique vit ses pires heures depuis le debut de l’année. On recence de plus en plus d’attaques contre les civils. 500.000 personnes se sont réfugiées dans les pays alentours et quelques 600.000 Centrafricains sont déplacés à l’intérieur de ce pays grand comme la France et la Belgique. 80% du territoire serait contrôllé par des groupes armés rendant de nombreuses villes sont inaccessibles. Plusieurs ONG tirent la sonnette d’alarme. “Il y a des ONG qui constitue des centrales, des hub humnaitaires dans lesquels ils conservent des stocks pour pouvoir déployer rapidement l’aide sur le territoire. Aujourd’hui ces stockssont un peu bloqués parce qu’il y a des endroits où on arrive plus à aller. Il y a des ville où on a dû partir parce que les violences étaient telles que les ONG ne pouvaient plus rester dans mettre en danger la vie de leurs équipes”, explique Hélène Camus de l’ONG française ACTED. Le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres doit se rendre dans le pays la semaine prochaine. Les ONG veulent profiter de sa visite pour attirer l’attention sur cette crise oubliée. Elles demandent à l’ONU de “clarifier le mandat” de la mission de la paix sur place. Elle veulent que les violences soient condamnées et que des moyens soient mis en oeuvre pour leur permettre de renforcer rapidement l’aide humanitaire. Message du Secrétaire général de l’#ONU, antonioguterres, à la veille de sa visite en #RCA ​https://t.co/inEwcS8Iw4 https://t.co/bVM7mkX2MY— MINUSCA (UN_CAR) 19 octobre 2017 400 000 enfants ne vont pas à l‘école en #Centrafrique – c est une génération entière qui est sacrifiée dénonce rochdi_najat #CARCrisis pic.twitter.com/CiukX87pyA— OCHA en français (UNOCHA_fr) 17 octobre 2017