Camping 3 (TMC) Antoine Duléry : "J’avoue, je n’ai jamais fait de camping…"

Avez-vous des rituels quand vous vous retrouvez ?
Antoine Duléry : Non, c’est comme si on s’était vus la veille. Il nous arrive de nous dire : "Tu te rappelles, il y a un an…" Et, en fait, il s’en est passé cinq ! On se voit peu, mais le port du slip de bain aide beaucoup à se sentir très à l’aise.

Justement, avez-vous un truc pour redevenir Paulo : un maillot fétiche, une paire de tongs, une chanson associée ?
Pas vraiment. Philippe Noiret disait : "Tout est dans le costume." Dès que j’ai des tongs aux pieds, je suis Paulo, même s’il a évolué et jeté les shorts pailletés de sa période bling-bling dans Camping 2. Il est redevenu bonhomme, mélancolique, depuis que sa femme, Sophie (Mathilde Seigner, ndlr), l’a quitté.

Camping 3 joue sur le choc des générations, jeunes contre vieux. Cette situation s’est-elle aussi ressentie sur le tournage ?
Non, mais c’est vrai que je suis un homme du Moyen Âge pour les réseaux sociaux ! Franck Dubosc, c’est pareil. Quand son personnage, Patrick Chirac, dit : "Nous, on se like pas, mais au moins, on a de vrais amis", il n’est pas loin de la vérité. Pour tout vous avouer, comme dans le film, j’ai longtemps dit Am-stram-gram pour Instagram. Et si j’ai un compte, c’est mon fils qui le gère.

Pendant le tournage, où dormez-vous ?
À l’hôtel. Nous sommes à un quart d’heure des Flots Bleus où

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