Camille Lellouche sans filtre sur sa participation à The Voice 4 : "A mon arrivée, on me transforme en cagole"

Pour Camille Lellouche, comme pour de nombreux artistes, The Voice est l’émission de la dernière chance pour réaliser un rêve, celui de vivre de la musique. "En arrivant dans l’émission, on a tous un parcours plus ou moins compliqué. Faire un métier artistique est éprouvant. On a parfois envie d’arrêter. J’étais vraiment dans l’urgence lorsque j’ai participé à la saison 4. J’avais déjà accumulé tant de peines et de refus, il ne me restait que ça. Je me disais que s’ils ne se retournaient pas, j’arrêtais tout", nous confiait-elle en novembre dernier.

Si cette saison 4 de The Voice, où elle est allée jusqu’en demi-finale, lui a permis de se faire connaître et de changer de vie, la chanteuse et comédienne ne garde pas que des bons souvenirs de l’émission, et ce pour une raison très précise : le look choisi pour elle par les stylistes. Comme elle le raconte dans son livre Tout te dire sorti le 6 mars dernier, elle s’est retrouvée avec des habits qui étaient loin d’être sa tasse de thé. "Nous passons beaucoup de temps avec les stylistes. Ils doivent suivre le cahier des charges du show, qui comporte, à mon grand désespoir, des talons et des robes... Pas du tout mon genre !", écrit-elle ainsi.

"Le styliste, Alexis Arnoult, tente de m'aider à sélectionner des tenues présentées dans le vestiaire. À mon arrivée, comme je n'ai pas d'identité visuelle affirmée, on me transforme en cagole (...) La non-élégance atteint son paroxysme lorsqu'ils me donnent des chaussures bleu électrique aux talons vertigineux pour les assortir à une robe blanche courte et moulante", poursuit-elle sans prendre de gants.

Pourquoi Camille Lellouche a accepté de faire des concessions dans The Voice

"Je ne peux plus bouger, je ne sais pas marcher, perchée sur ces échasses. Et je ne parle même pas des séances de coiffure d'où je ressors avec des ties and dye blonds et des boucles soutenues par une tonne de laque ! Tout ce que je déteste (…) Tu vois, quand on est jeune, Alma, on ne sait pas encore exiger ou refuser. On ne maîtrise pas les règles. Je ne voulais pas m'imposer, je jouais à être docile", ajoute-t-elle.

"Ce...

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