“C’est triste à dire” : Anaïs Sanson (Les Anges) s’exprime sur son “passif fausses couches”

On a découvert Anaïs Sanson derrière nos écrans il y a bientôt 10 ans. La jeune femme s'était, à l'époque, illustrée dans Les Princes de l'amour, puis dans Les Anges de la télé-réalité. Elle avait finalement décidé de mettre un terme à sa carrière en tant que candidate de télé-réalité mais a continué à donner de ses nouvelles à ses milliers d'abonnés sur Instagram. Encore aujourd'hui, elle leur partage son quotidien de maman et d'épouse et s'exprime également sur ses tracas. La mère de trois enfants n'a jamais caché sa volonté d'agrandir la famille mais a révélé que c'était malheureusement plus compliqué que ça n'en avait l'air.

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Maman de Shana, fruit de ses amours avec son ancien compagnon, Anaïs a également donné naissance à Lila et Loan, ses deux enfants avec Carlos, son amoureux. Le couple marié depuis 2019 a rencontré des difficultés avant d'avoir son deuxième enfant en septembre 2022. La jeune femme avait alors confié à Jeremstar qu'elle avait subi plusieurs fausses couches avant de parvenir à mener à bien cette grossesse. Puis, mardi 12 septembre, sur Instagram, où elle est très présente, elle révélait avoir de nouveau fait une fausse couche. La maman expliquait que c'est en août dernier suite à un retard de ses règles qu'elle avait compris être enceinte. Hélas, lors de son rendez-vous avec le gynécologue, celui-ci lui révèle qu'à l'échographie le sac gestationnel apparaît sans embryon. Le couple garde espoir puis refait une échographie début septembre pour savoir si les choses ont changé depuis. Toujours rien… et Carlos et Anaïs comprennent donc qu'il s'agissait d'un œuf clair, aussi connu sous le nom de grossesse non évolutive. Ce phénomène se produit quand après la fécondation de l'ovule par les spermatozoïdes, la division des cellules qui mène à la formation d'un embryon ne se fait pas.

L'ex-candidate de télé-réalité assurait à ses abonnés qu'elle a fini par accepter ce diagnostic même pas sans difficulté. "Ça va, j'ai avalé la pilule, j'ai accepté parce qu'on n’a pas le ...

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