"C’est fini les interviews à l’ancienne" : Apolline de Malherbe et Maxime Switek aux commandes du débat des Européennes 2024 (BFMTV)

Ce n’est pas la première fois que vous formez en duo sur l’antenne de BFMTV. Comment se passent les choses en général ?

Maxime Switek. C’est vrai que nous avions déjà présenté les soirées électorales après la présidentielle et les législatives…C'est toujours un régal car il y a du suspense, on attend les résultats, l'enjeu est souvent énorme et vous avez des invités en plateau qui attendent de savoir ce que leurs partis, leurs candidats vont devenir. Ce sont les soirées que je préfère ! Et nous n'avons pas beaucoup l'occasion de bosser ensemble, je suis heureux de retrouver Apolline pour ce débat autour des Européennes car c’est toujours très cool de bosser avec elle.

Apolline de Malherbe. C'est une relation de très grande confiance et de respect. On arrive chacun avec nos qualités. Moi, je suis nourrie par ce que me disent les auditeurs, ce que je fais sur RMC, les interviews politiques. On a en commun d’être à l’antenne comme on est dans la vie. On des gens spontanés, très naturels, on dit les choses comme on les pense. On est réactif. On a une manière moderne de mener les débats. C’est fini les interviews à l’ancienne, un peu ampoulées, plan-plan. Nous, on les vit de manière très spontanée, très cash, avec un ton très libre.

Vous avez une belle complicité …Quel regard portez-vous l’un sur l’autre ?

M.S Apolline est à la fois hyper bosseuse, hyper sérieuse et hyper détendue…

C'est possible ça ?

M.S Oui c'est possible ! Et c'est là où elle est très forte : elle est capable de bosser, d'être rapide, et en même temps d'avoir une espèce de décontraction jusqu'à une demi-seconde de l'antenne. Les téléspectateurs ne le voient pas forcément mais pendant un duplex, on peut même se vanner !

A.M Maxime et moi, nous sommes sur la même longueur d'onde dans notre manière de mener ces soirées-débats. On ne laisse rien au hasard. On incarne une manière de faire qui est vraiment propre à la génération BFM, celle qui a changé le ton des interviews.

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