Bruxelles confirme que les hybrides rechargeables ne sont pas efficaces
Depuis de nombreuses années, les voitures hybrides rechargeables prennent de plus en plus de place sur les routes.
Des hybrides rechargeables pointés du doigt
Il faut dire que ces véhicules possèdent en théorie de nombreux avantages, puisqu’ils cumulent à la fois les atouts des autos thermiques, ainsi que ceux des électriques. Pour mémoire, les PHEV associent un moteur essence ou diesel à un bloc électrique, qui prend le relais en fonction des besoins et de la situation. Une batterie permet également de rouler sans utiliser le moteur thermique, notamment en ville. De plus, il est possible de rouler même lorsque l’accumulateur est vide, ce qui enlève du stress pour les propriétaires qui ne trouvent pas de borne. Cependant, tout n’est pas parfait non plus, bien au contraire. Et pour cause, une nouvelle étude de la Commission Européenne met en lumière les différences entre les homologations officielles des véhicules essence, diesel et hybrides rechargeables et les chiffres réels concernant leur consommation et leurs émissions de CO2. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette dernière est assez accablante vous allez le voir.
Des hybrides rechargeables loin d’être parfaits
En effet, selon le rapport, les véhicules hybrides rechargeables (PHEV) émettent en moyenne 23 % de gaz nocifs de plus que ce qui est indiqué lors des homologations. Un chiffre très élevé donc, qui risque d’en décevoir plus d’un. Il faut savoir qu’actuellement, le modèle d’homologation en vigueur est le WLTP, qui a remplacé le précédent NEDC, jugé moins proche de la réalité. Le WLTP vise à fournir des mesures plus réalistes en simulant des conditions de conduite réelles plutôt que des...Lire la suite sur Autoplus