Bill Clinton trolle (encore) Barack Obama sur Twitter

Bill Clinton trolle (encore) Barack Obama sur Twitter

Les deux présidents démocrates sont passés maîtres dans l'art de communiquer sur les réseaux sociaux

Décidément, Bill Clinton n'arrête pas de taquiner Barack Obama sur les réseaux sociaux. Dernier en date, un tweet de l'ancien président démocrate ce mardi, à l'occasion de l'anniversaire de l'actuel locataire de la Maison Blanche.

Happy birthday, @POTUS! Hopefully when @FLOTUS isn’t looking you can have some cake. #44turns54

— Bill Clinton (@billclinton) August 4, 2015

«Joyeux anniversaire, @POTUS! Avec un peu de chance, @FLOTUS ne regardera pas quand tu reprendras du gâteau.»

Le mot-dièse du tweet de Bill Clinton, #44turns54, fait allusion au rang de Barack Obama dans la liste des présidents des Etats-Unis (44e), et à son nouvel âge (54 ans). @POTUS est l'acronyme de «President of the United States», et @FLOTUS, celui de «First Lady of the United States», la Première dame.

Barack Obama est arrivé très tardivement sur Twitter, en mai dernier.

Hello, Twitter! It's Barack. Really! Six years in, they're finally giving me my own account.

— President Obama (@POTUS) May 18, 2015

Bonjour Twitter! Enfin, au bout de six ans, ils me donnent enfin mon propre compte.

En quelques heures, son compte avait dépassé le million d'abonnés - il en a aujourd'hui 3,5 millions. Et les réactions ne s'étaient pas fait attendre. Notamment chez la first Lady:

It's about time, @POTUS! –mo

— The First Lady (@FLOTUS) May 18, 2015

«Il était temps, @POTUS!»

Mais aussi chez Bill Clinton, et ses 3,9 millions d'abonnés:

Welcome to @Twitter, @POTUS! One question: Does that username stay with the office? #askingforafriend

— Bill Clinton (@billclinton) May 18, 2015

«Bienvenue sur Twitter, @POTUS! Une question: est-ce que le nom d’utilisateur est attaché à la fonction?» #jedemandepourunami

Obama - enfin, ses services de communications, probablement - ne s'était pas démonté:

Good question, @billclinton. The handle comes with the house. Know anyone (...)

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