Bertrand Cantat : cette demande particulière qu’il a formulée avant d’être libéré de prison

Un drame survenu il y a vingt ans… Dans la nuit du 26 au 27 juillet 2003, Bertrand Cantat frappait violemment sa compagne Marie Trintignant, dans une chambre d'hôtel à Vilnius en Lituanie. À la suite d'un œdème cérébral suivi d'un coma profond, l’actrice avait été déclaré morte vendredi 1er août 2003. Dimanche 24 novembre 2019, Enquête exclusive avait dévoilé l’audition du chanteur du groupe Noir Désir. "Je ne peux pas accepter le terme de 'crime' parce que c’était un accident et une lutte. Il n’y avait aucun coup porté qui pouvait donner la mort et le terme de crime intentionnel, je le réfute complètement", avait-il déclaré, avant d’indiquer : "J’ai la culpabilité profonde d’avoir tué la personne sans laquelle je suis incapable de vivre. Le cœur profond du problème, il est là, on s’aime trop Elle me répondait toujours 'On ne s’aime jamais trop.'" Condamné pour "coups mortels" à huit ans de prison en 2004, Bertrand Cantat a finalement été libéré du centre de détention de Muret, en Haute-Garonne le 15 octobre 2007. Alors qu’il a effectué la moitié de sa peine, Philippe Laflaquière, ancien vice-président de l’application des peines au tribunal judiciaire de Toulouse, s’est expliqué auprès de La Dépêche. "La décision était relativement aisée à prendre, car tous les critères d’une libération étaient réunis : comportement général pendant la détention, travail au service général (entretien des locaux (...)

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