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Benjamin Griveaux : "Cédric Villani a dit qu'il serait loyal, je n'ai pas de raison de douter de sa parole"

Investi par La République en marche (LREM) pour mener la bataille municipale à Paris, Benjamin Griveaux affronte un début de campagne délicat. Pour inverser la tendance, il dévoile ses idées sur l'éducation dans une interview au JDD. "Mon objectif est que tous les enfants parisiens soient bilingues à la fin du collège", annonce-t-il notamment en proposant des temps d'initiation dès la crèche. Il souhaite également orienter "les aides au financement pour des séjours linguistiques vers les enfants des milieux les plus modestes".

Main tendue à Bournazel et Villani

Sur un plan plus politique, il ouvre la porte à Pierre-Yves Bournazel. "Il incarne depuis des années une opposition constructive face à Anne Hidalgo. Je souhaite donc que nous ayons une démarche commune, et cela vaut pour tous ceux qui veulent bâtir l'alternance à Paris", affirme Benjamin Griveaux qui déclare toutefois qu'"avant de proposer des alliances, il faut un projet".

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Le député de Paris tend aussi la main à Cédric Villani qu'il a devancé pour obtenir l'investiture. "On a plus de points communs que de divergences : avoir soutenu le Président, avoir été choisis par LREM pour les législatives… C'est grâce à LREM que nous sommes députés", rappelle Benjamin Griveaux. "Cédric a dit qu'il serait loyal, je n'ai pas de raison de douter de sa parole. J'espère le convaincre que sa place est dans sa famille et qu'il pourra porte...


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