Les Barcelets rouges (TF1) - Frederic Diefenthal : "Je suis toujours touché par la fidélité des spectateurs"

Aviez-vous déjà regardé Les Bracelets rouges avant de jouer dans la série ?

Frederic Diefenthal : Mieux que ça, je l’ai découverte au Festival de la Fiction de La Rochelle, où j’étais venu défendre une autre série, La Forêt. J’ai assisté à l’avant-première et je suis tombé sous le charme.

Vous jouez des scènes fortes face à des médecins qui vous annoncent l’évolution de la maladie de César. Comment les avez-vous abordées ?

Je les ai vécues avec mon ressenti, je me suis souvenu de rencontres avec des personnes qui ont été dans ce cas-là, des patients confrontés à une pathologie. Pendant les minutes où je tourne, je suis dans la peau d’un père qui parle à son fils. Tout ce que je sais, c’est qu’il ne faut jamais se laisser emporter par les émotions, car c’est rarement face à une situation grave que l’on craque, c’est plutôt en décalé.

Vous retrouvez Azize Diabaté, qui joue aussi dans Ici tout commence, avec vous…

Avec lui, c’est une longue histoire. Je lui ai remis son premier prix quand il était ado, dans un festival : il doublait des films d’animation. Je l’ai découvert par sa voix. J’adore ce garçon et sa façon très particulière d’aborder la comédie. C’est un électron libre.

À lire également

Ici tout commence : surprise, Kathy Packianathan (Deva) quitte la série de TF1 !

Du côté d’Ici tout commence, entre Antoine Myriel (vous) et Pénélope Becker (Laurence Facelina), c’est du sérieux ?

Oui, ce n’est pas une broutille. Avec Souleymane (Dembo Camilo), mon fils, on forme une nouvelle famille recomposée.

Pourriez-vous être promu directeur de l’institut, à la place d’Emmanuel Teyssier (Benjamin Baroche) ?

C’est vrai qu’il s’éloigne. Mais sa place n’intéresse pas Antoine. Il a compris que ça l’enfermerait. Or, il est un trait d’union entre les élèves et l’équipe pédagogique.

L’ambiance de l’institut Auguste-Armand vous rappelle-t-elle celle de l’école hôtelière que vous avez fréquentée, av...

Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi