Aurore australe, aurore boréale : tout savoir sur les aurores polaires

La naissance d’une aurore réunit trois conditions : l’éjection par le Soleil, dans l’espace, de particules chargées ; l’existence du champ magnétique de la Terre et la présence de l’atmosphère. Les particules sont déviées et canalisées jusqu’aux pôles magnétiques terrestres (proches des pôles géographiques), où elles entrent en contact avec les gaz qui composent la haute atmosphère. Leurs interactions génèrent alors des milliards de photons lumineux : l’aurore apparaît.

Tout dépend du lieu d’observation de l’aurore. Elle sera "boréale" dans l’hémisphère Nord, et "australe" dans la partie Sud du globe. Dans le doute, on peut parler "d’aurore polaire" dans les deux cas, puisque ce phénomène lumineux survient de préférence au-dessus des pôles.

Oui ! Certaines aurores boréales, dans des conditions météorologiques particulières, produisent des sortes de claquements. Le phénomène était supposé tenir de la légende, jusqu’à ce qu’en 2016 et 2022, des chercheurs finlandais l’enregistrent et l’étudient !

Les aurores polaires se produisent toute l’année. Mais l’hiver (entre septembre et mars dans l’hémisphère Nord et de mars à septembre dans l’hémisphère Sud), le ciel aux pôles est plus sombre et les nuits plus longues : les aurores s’observent donc mieux.

Oui, ce que fit le scientifique norvégien Kristian Birkeland à la fin du XIXe siècle. Il comprit la formation des aurores boréales en mettant sous cloche une sphère métallique dotée d’un aimant en son centre (la Terre) et un canon à électrons (...)

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