Au Festival de Cannes, Donald Trump a presque monté les marches grâce à Sebastian Stan
FESTIVAL DE CANNES - Donald Trump a-t-il séché son procès à Manhattan pour faire une apparition sur les marches du Festival de Cannes ? Non, mais presque. Sebastian Stan, qui joue l’ancien président américain dans le film The Apprentice, a défilé sur le tapis rouge ce lundi 20 mai.
Cheveux mi-longs, barbe et costume élégant, l’acteur roumano-américain a posé devant les photographes de la Croisette à l’occasion de la présentation du film qui retrace la montée au pouvoir du milliardaire et magnat de l’immobilier. Le titre du long-métrage est une référence à la téléréalité présentée par Donald Trump au début des années 2000.
All the way to the top of the Steps ✨ Jusqu’en haut des Marches !
THE APPRENTICE – ALI ABBASI
Avec l’équipe du film / With the film crew
🔎 Sebastian Stan, Ali Abbasi, Maria Bakalova, Jacob Jarek, Daniel Bekerman, Martin Donovan, Amy Baer, Gabriel Sherman, Louis Tisné, Ruth… pic.twitter.com/hGSuiJVUXt— Festival de Cannes (@Festival_Cannes) May 20, 2024
Sur les marches, Sebastian Stan était accompagné du réalisateur iranien Ali Abbasi (Les Nuits de Mashhad), de Maria Bakalova qui interprète l’ex-femme de Donald Trump Ivana ou encore de Martin Donovan, qui joue le père l’ancien président à nouveau candidat à la présidentielle 2024.
Transformation physique
Des photos du tournage révélées récemment montraient l’ampleur de la transformation de Sebastian Stan pour ressembler au personnage qu’il incarne. Mèche sur le côté, costume trois-pièces et corps rondouillet, Sebastian Stan est aussi passé au blond pour incarner un jeune Donald Trump sur le point de bâtir son empire.
See Sebastian Stan transform into Donald Trump for upcoming film ‘The Apprentice’ https://t.co/ipaQ5qVpfK pic.twitter.com/mgzEoaJrzV
— Page Six (@PageSix) December 4, 2023
Aux côtés de Sebastian Stan dans The Apprentice, l’acteur Jeremy Strong (vu dans la série Succession) prête ses traits à l’avocat Roy Cohn. Le film qui se déroule dans les années 1970 et 1980 à New York raconte l’ascension de Donald Trump, qui tente de se défaire de l’emprise de son père, en scellant un pacte avec Roy Cohn. Le milliardaire va profiter du carnet d’adresses de son comparse, puis l’abandonner à son sort lorsqu’il est malade du sida.
« Nous voulions faire une version punk rock d’un film historique, ce qui signifiait que nous devions garder une certaine énergie, un certain esprit, (ne pas) être trop pointilleux sur les détails et sur ce qui est vrai ou faux », a récemment déclaré Abbasi à Vanity Fair.
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