Attentat à Moscou, famine à Gaza, Baltimore et Sénégal… La semaine en photos

Le 26 mars 2024, à Krasnogorsk (Russie). Un mémorial devant le Crocus City Hall, où un attentat a fait au moins 137 morts le 22 mars. . Photo NATALIA KOLESNIKOVA/AFP
Le 26 mars 2024, à Krasnogorsk (Russie). Un mémorial devant le Crocus City Hall, où un attentat a fait au moins 137 morts le 22 mars. . Photo NATALIA KOLESNIKOVA/AFP

Le 22 mars, des hommes ont ouvert le feu dans la salle de concert du Crocus City Hall, dans la banlieue de Moscou. Au moins 137 personnes ont été tuées. La Russie a annoncé une journée de deuil national le 24 mars pour l’acte terroriste le plus meurtrier sur son territoire depuis vingt ans, revendiqué par l’État islamique au Khorassan. La piste tadjike se confirme dans la presse russe. Mais pour Vladimir Poutine, l’Ukraine est aussi responsable.

Le 27 mars 2024, à Jabaliya (Gaza). Une foule de Palestiniens affamés attend l’aide alimentaire. . Photo MAHMOUD ISSA/Anadolu/AFP
Le 27 mars 2024, à Jabaliya (Gaza). Une foule de Palestiniens affamés attend l’aide alimentaire. . Photo MAHMOUD ISSA/Anadolu/AFP
Le 27 mars 2024, à Jabaliya (Gaza). Une foule de Palestiniens affamés attend l’aide alimentaire. . Photo MAHMOUD ISSA/Anadolu/AFP
Le 27 mars 2024, à Jabaliya (Gaza). Une foule de Palestiniens affamés attend l’aide alimentaire. . Photo MAHMOUD ISSA/Anadolu/AFP

Le 28 mars, la Cour internationale de justice (CIJ) a “ordonné à l’unanimité à Israël de permettre le flux sans entrave de l’aide vers Gaza”, rapporte la BBC. Pour la CIJ, “la famine s’installe” : 31 personnes seraient mortes de malnutrition dans l’enclave. Le 25 mars, grâce à l’abstension des États-Unis, le Conseil de sécurité avait adopté une résolution appelant à un “cessez-le-feu immédiat”. Retrouvez notre dossier sur la menace Nétanyahou ici.

Le 26 mars 2024, à Baltimore (Maryland). Le navire “Dali” a percuté le pont métallique Francis Scott Key. . Photo Maryland National Guard/REUTERS
Le 26 mars 2024, à Baltimore (Maryland). Le navire “Dali” a percuté le pont métallique Francis Scott Key. . Photo Maryland National Guard/REUTERS
Le 26 mars 2024, à Baltimore (Maryland). Le navire “Dali” a percuté le pont métallique Francis Scott Key. . Photo Maryland National Guard/REUTERS
Le 26 mars 2024, à Baltimore (Maryland). Le navire “Dali” a percuté le pont métallique Francis Scott Key. . Photo Maryland National Guard/REUTERS

Dans la nuit du 25 au 26 mars, le pont métallique Francis Scott Key, dans le port de Baltimore, s’est écroulé dans le fleuve Patapsco après avoir été heurté par le Dali, un navire battant pavillon singapourien. Deux corps ont été retrouvés et quatre personnes sont toujours recherchées par les autorités. Cet accident pourrait “entraîner les plus grosses pertes de l’histoire des assurances maritimes”, écrit Business Insider. Les experts estiment l’ardoise finale à plusieurs milliards d’euros.

Le 28 mars 2024, à Dakar (Sénégal). Bassirou Diomaye Faye, nouveau président du Sénégal, dans le palais présidentiel, avec son mentor Ousmane Sonko et le président sortant, Macky Sall. . Photo Senegalese Presidency / AFP
Le 28 mars 2024, à Dakar (Sénégal). Bassirou Diomaye Faye, nouveau président du Sénégal, dans le palais présidentiel, avec son mentor Ousmane Sonko et le président sortant, Macky Sall. . Photo Senegalese Presidency / AFP
Le 28 mars 2024, à Dakar (Sénégal). Bassirou Diomaye Faye, nouveau président du Sénégal, dans le palais présidentiel, avec son mentor Ousmane Sonko et le président sortant, Macky Sall. . Photo Senegalese Presidency / AFP
Le 28 mars 2024, à Dakar (Sénégal). Bassirou Diomaye Faye, nouveau président du Sénégal, dans le palais présidentiel, avec son mentor Ousmane Sonko et le président sortant, Macky Sall. . Photo Senegalese Presidency / AFP

Le 24 mars, l’opposant Bassirou Diomaye Faye a été élu président du Sénégal, en défendant un programme de “rupture”. “Cette victoire symbole de l’antisystème, revêt à sa façon les couleurs du ‘printemps des peuples’ en Afrique subsaharienne, note Guinée News. Sauf qu’au Sénégal ce sont les urnes qui ont parlé et non les armes, comme cela a été le cas au Mali, en Guinée, au Burkina Faso et au Niger”.

Le 26 mars 2024, à Londres (Royaume-Uni). Des soutiens de Julian Assange manifestent contre son extradiction aux États-Unis. Sous la pression, la Haute-Cour britannique a accepté de demander de garanties avant d’autoriser l’extradition du fondateur de WikiLeaks. . Photo WIKTOR SZYMANOWICZ/Anadolu/AFP
Le 26 mars 2024, à Londres (Royaume-Uni). Des soutiens de Julian Assange manifestent contre son extradiction aux États-Unis. Sous la pression, la Haute-Cour britannique a accepté de demander de garanties avant d’autoriser l’extradition du fondateur de WikiLeaks. . Photo WIKTOR SZYMANOWICZ/Anadolu/AFP
Le 26 mars 2024, à Londres (Royaume-Uni). Des soutiens de Julian Assange manifestent contre son extradiction aux États-Unis. Sous la pression, la Haute-Cour britannique a accepté de demander de garanties avant d’autoriser l’extradition du fondateur de WikiLeaks. . Photo WIKTOR SZYMANOWICZ/Anadolu/AFP
Le 26 mars 2024, à Londres (Royaume-Uni). Des soutiens de Julian Assange manifestent contre son extradiction aux États-Unis. Sous la pression, la Haute-Cour britannique a accepté de demander de garanties avant d’autoriser l’extradition du fondateur de WikiLeaks. . Photo WIKTOR SZYMANOWICZ/Anadolu/AFP

Le 26 mars, la Haute Cour de justice de Londres a demandé aux États-Unis de présenter des garanties pour autoriser l’extradition de Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, rapporte The Times. Washington a trois semaines pour présenter ces garanties à la justice britannique. Si celles-ci sont insuffisantes, alors une nouvelle audience sera organisée. Dans le cas contraire, l’audience en appel concernant la demande d’extradition aura lieu.—

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