Pas assez "fun" : un salarié mis au ban de son entreprise le lui fait payer très cher
Parce qu’il n’adhère pas à certaines valeurs de l’entreprise, celle-ci l’a licencié. "Monsieur T" a gagné sa guerre de 9 ans contre son ancien employeur Cubik Partners qui l’avait renvoyé pour "insuffisance professionnelle" et pour son désaccord avec les valeurs "fun & pro" de ce dernier, rappelle RTL dans un article du 1 février 2024. Monsieur T a été licencié en 2015. Récemment, la Cour d’appel de renvoi de Paris a ordonné sa réintégration et le paiement d’indemnités astronomiques. La Cour d’appel de renvoi de Paris a considéré que dans le cadre de son licenciement, le droit à la liberté d’expression de ce salarié n’a pas été respecté. En Novembre 2022, elle avait déjà reconnu le droit de Monsieur T à ne pas participer aux événements festifs organisés au travail. Ce salarié a eu gain de cause comme le révèle son avocat à BFM Business. : "Si le motif de licenciement touche à une liberté fondamentale, même partiellement, cela invalide la totalité du licenciement", a révélé Olivier Bongrand, l’avocat de Monsieur T. Suite à la décision de la Cour d’appel de renvoi de Paris, il est maintenant question de la réintégration de Monsieur T dans l’entreprise Cubik Partners. Toutefois, " la réintégration de Monsieur T dans Cubik Partners demeure incertaine, laissant place à des négociations entre les parties concernées", peut-on lire dans l’article de RTL. Le plus étonnant dans l’issue de cette affaire (...)
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