Après le vote du Sénat, quel calendrier pour la réforme des retraites?
La commission mixte paritaire se réunira mercredi, avant un vote au Sénat jeudi matin et un vote à l'Assemblée nationale l'après-midi.
La commission mixte paritaire se réunira mercredi, avant un vote au Sénat jeudi matin et un vote à l'Assemblée nationale l'après-midi.
En pleine crise sociale des retraites, cette initiative de Marlène Schiappa n'a pas fini de faire parler. La...
Plusieurs membres de la majorité s'offusquent que la secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale et solidaire fasse la prochaine une du magazine de charme.
La nouvelle secrétaire générale de la CGT rencontrera Élisabeth Borne le 5 avril, avec l’intersyndicale. Elle exigera le retrait de la réforme.
La construction du successeur du Charles-de-Gaulle figurera dans la loi de programmation militaire présentée ce mardi en conseil des ministres.
Désormais dotée d’une partie des équipements militaires occidentaux qu’elle réclamait avec insistance, l’Ukraine semble avoir les moyens de lancer sa contre-offensive. Reste à savoir où et quand.
La Première ministre va recevoir mercredi 5 avril les représentants syndicaux, pour la première fois depuis trois mois et à la veille de la onzième journée de mobilisation nationale contre le projet.
Qu'est-ce que le groupe Wagner ? Qui est derrière son patron, Evgueni Prigojine, l'ami de Poutine ? Euronews a posé la question à Samuel Ramani, membre du Royal United Services Institute.
La Première ministre Sanna Marin joue une difficile reconduction dimanche lors des élections législatives en Finlande, où la dirigeante de 37 ans pourrait être détrônée par la droite voire les nationalistes anti-immigration.Les bureaux de vote ont ouvert dimanche matin dans le pays nordique de 5,5 millions d'habitants, où 40% des électeurs ont déjà voté en avance dans un scrutin à fort suspense.Une bataille à trois très serrée oppose la cheffe des sociaux-démocrates, le numéro un de la Coalition nationale Petteri Orpo, classé au centre-droit, et la dirigeante de l'extrême-droite du parti des Finlandais, Riikka Purra, qui vise une victoire inédite et un score record pour ces législatives.Le candidat du parti arrivé premier hérite traditionnellement du poste de Premier ministre en Finlande, à condition de pouvoir réunir une majorité au Parlement.Le trio est dans un mouchoir de poche pour ses élections qui coïncident avec l'entrée officielle de la Finlande dans l'Otan, attendue dans les prochains jours."Tout le monde a une possibilité de gagner et, bien sûr, nous voulons gagner pour continuer notre travail pour un futur plus durable", a déclaré samedi Mme Marin en marge de son dernier meeting, promettant de "s'occuper des Finlandais ordinaires".Selon le dernier sondage jeudi, la Coalition nationale a 19,8% des intentions de vote, devant le parti des Finlandais (19,5%) puis les sociaux-démocrates (18,7%)."Nous avons fait une excellente campagne (...) et nous sommes premiers dans les sondages, donc je suis optimiste", a estimé samedi Petteri Orpo, 53 ans, qui a fait campagne sur l'économie et les finances publiques.Après la percée des nationalistes en Suède voisine et la victoire de l'extrême-droite en Italie l'an dernier, la Finlande va-t-elle devenir le dernier pays de la vague natio-populiste en Europe?Installé depuis plus de 20 ans dans la vie politique finlandaise, le parti des Finlandais n'est jamais arrivé en tête jusqu'ici."J'espère que je serai la bonne surprise", a dit samedi à l'AFP Mme Purra, sa dirigeante depuis deux ans. - "Fixit" -Une scission en 2017 avait vu une ligne plus dure prendre les commandes. Le parti envisage officiellement un "Fixit", une sortie finlandaise de l'Union européenne, même s'il s'agit plus d'un affichage "tactique", souligne Juho Rahkonen, politologue à l'institut E2 Research. Selon l'analyste, le parti a su capitaliser plus que les autres sur la vague inflationniste actuelle, et arrive aussi en tête des intentions de vote des jeunes en se distinguant du reste de la classe politique, par exemple sur les réseaux sociaux."Je pense que le parti nationaliste d'extrême-droite va probablement gagner (...) malheureusement, donc je fais mon devoir pour les arrêter", a confié à l'AFP Markus Hällsten, un électeur de 31 ans, venu voter tôt dimanche matin à Helsinki.Sanna Marin, plus jeune cheffe du gouvernement au monde lors de son arrivée au pouvoir fin 2019, a été saluée pour sa bonne gestion de la pandémie de Covid-19, du processus d'adhésion à l'Otan, et ses prises de position contre la Russie voisine, qui ont fait d'elle une figure à l'étranger."Mais tout le monde n'est pas satisfait de Marin. Bien qu'exceptionnellement populaire, elle suscite aussi de l'opposition et le clivage politique s'est creusé", note Juho Rahkonen.L'économie est l'angle d'attaque principal de l'opposition, qui dénonce la hausse de 10 points de PIB de la dette publique en quatre ans, à 73%."J'aime bien Marin comme dirigeante, mais je ne crois pas qu'elle et son gouvernement puissent mettre en oeuvre ses idées sur la politique économique", dit à l'AFP Kasper Kylmälä, un électeur de 29 ans, pour qui un changement de gouvernement "serait une bonne chose".La coalition gouvernementale de cinq partis de la Première ministre bat de l'aile depuis plusieurs mois. Son allié du Centre a déjà prévenu qu'il refuserait de reconduire cette coalition.La publication des premiers résultats partiels, basés sur le vote par avance, est attendue à 20H00 (17H00 GMT) après la fermeture des bureaux de vote. La formation d'un gouvernement prend traditionnellement plusieurs semaines voire des mois, Mme Marin devrait donc a minima assurer encore l'intérim la semaine prochaine lorsque la Finlande va officiellement adhérer à l'Otan, après le dernier feu vert nécessaire de la Turquie obtenu jeudi.Tous les grands partis sont désormais pour l'entrée dans l'Alliance atlantique.vk-ehu-map/sba
Transition - Aucune explication n’a été donnée sur ces changements, qui suivent de quelques mois un coup d’Etat
La candidate du Mouvement pour la ruralité, qui s’était présentée face à l’élue de la Nupes à Paris, n’a pas publié ses comptes de campagne.
Interview - L’ancien président américain va devoir comparaître devant la justice pénale de New York, une première dans l’histoire des Etats-Unis
Le ministre russe de la défense, Sergueï Shoïgu, a promis samedi d'augmenter les livraisons de munitions aux forces russes en Ukraine, lors d'une visite au quartier général des troupes basée dans le pays. Dans la journée, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé la "faillite" des Nations unies, où la Russie a pris dès samedi la présidence du Conseil de sécurité pour le mois d'avril. Voici le fil du 1er avril. Cette page n'est plus actualisée. Cliquez ici pour retrouver notre couvertur
"Le tableau de l'inflation est moins favorable" que ce que les tendances semblaient indiquer en début d'année, a indiqué une responsable de la Réserve fédérale américaine.
Chantier - Environ 5 milliards d’euros doivent être consacrés au porte-avions dans la prochaine loi de programmation militaire
« La protection de notre souveraineté n’est pas négociable », a affirmé le ministre des Armées, qui va présenter mardi la loi de programmation militaire.
L’ancien président a, lui, dénoncé une accusation « bidon et honteuse » orchestrée par les démocrates en amont de la campagne présidentielle.
Élisabeth Borne a convié les différents groupes parlementaires à Matignon à partir du 3 avril. Bruno Retailleau (LR) exige du « donnant-donnant » dans les relations avec la majorité présidentielle. La gauche ne fait pas mystère de son scepticisme sur le sens de ces nouveaux rendez-vous. « Son temps est précieux mais le nôtre aussi », s’agace Patrick Kanner (PS).
Lors d'une réunion de son Conseil de sécurité nationale ce vendredi, le président Vladimir Poutine a affirmé que les "bouleversements sur la scène internationale" obligeaient la Russie à "adapter" sa stratégie.
Au moins 6 000 personnes étaient mobilisées selon l’intersyndicale à Vire, la ville où Élisabeth Borne a été élue aux législatives, pour protester contre le projet de loi.
"Il n'y a pas d’essoufflement" de la contestation sociale, bien au contraire estime Bruno Palier, directeur de recherche au CNRS. Le politologue souligne que l'inflexibilité du président risque de faire progresser le vote en faveur du Rassemblement National