Après ses propos polémiques sur l'hôpital, Yves Calvi présente ses excuses

Après coup, Yves Calvi reconnait qu'il y a peut-être été un peu fort. Le 12 mars dernier, alors que l'épidémie se propageait en France, le journaliste qui anime quotidiennement L'info du vrai sur Canal+ avait lancé sur son plateau : "Je vais choquer tout le monde en disant ça mais la pleurniche permanente hospitalière fait qu'on est en permanence au chevet de notre hôpital". Des propos qui avaient fait réagir ses invités en plateau, mais pas tellement le public. Seulement, depuis quelques jours, l'extrait de la séquence en question circule sur les réseaux sociaux. Le journaliste a donc décidé de clarifier ce qu'il a voulu dire.

"C'est déplacé et idiot"

Interrogé par Le Parisien, Yves Calvi reconnaît aujourd'hui que ses propos étaient déplacés, surtout au vu du contexte très tendu auquel est soumis le milieu hospitalier pour endiguer l'épidémie. "Évidemment, je regrette d'avoir pu choquer et j'en suis désolé. C'est une erreur et c'est inapproprié. La pleurniche, c'est déplacé et idiot. L'extrait balancé sur Twitter est volontairement malhonnête, il faut écouter l'intégralité de l'émission pour comprendre mon propos. J'aidais un invité à s'exprimer, reformuler, je n'ai pas voulu attaquer l'hôpital" concède le journaliste. "Ma pensée est avec eux (le personnel hospitalier, ndlr) à 20 heures, même si je suis encore à l'antenne. Écoutez l'émission jusqu'au bout. L'intégralité de mon travail sur Canal + et RTL est une réponse" poursuit Yves Calvi.

De retour à la rentrée pour L'info du

Retrouvez cet article sur Télé 2 semaines

Le comédien Maurice Barrier est décédé à l'âge de 87 ans, victime du coronavirus
"Des masques, il y en a plein !" : un pharmacien et un médecin flinguent le gouvernement dans Morandini Live ! (VIDEO)
Bruno Solo : son appel ému pour venir en aide aux enfants victimes de violences
Laurie Cholewa de nouveau enceinte : elle dévoile son ventre arrondi sur Instagram (PHOTO)
Stanley Kubrick (Arte) : Le plus secret des cinéastes évoque ses obsessions