Amistad (Ciné+ Premier) : A quelle star d'Hollywood Steven Spielberg a préféré Djimon Hounsou ?

Été 1839. Au large de Cuba, le navire espagnol "Amistad" affronte un orage au moment même où, dans l'obscurité de la cale, des esclaves brisent leurs chaînes. Sur les pas de Cinqué, leur chef, ils envahissent le pont et, mus par la peur autant que par la fureur, passent l'équipage par les armes. Mais leur rêve de liberté tourne court. Faute de savoir naviguer, ils tournent le dos à leur Afrique natale. Au bout de six semaines, alors que les réserves d'eau douce s'épuisent, une côte se profile à l'horizon. Celle du Connecticut. À peine les mutins ont-ils le temps de débarquer et de regarder, ébahis, passer un homme noir juché sur un vélo, que des Américains arraisonnent l'"Amistad". Capturés et traînés en prison, Cinqué et ses compagnons d'infortune vont être jugés pour meurtre, tandis que le Président Van Buren s'apprête à briguer un deuxième mandat...

À lire également

"Je ne pense pas que nous soyons seuls" : Steven Spielberg donne son avis sur la présence d’extraterrestres dans l'univers

En grand humaniste, Spielberg signe cette ode à la liberté qui, possède une puissance émotionnelle rare. « Dès que j’ai vu Djimon, j’ai su que c’était lui, il semblait en paix avec lui-même », confie Steven Spielberg, qui a préféré ce quasi-inconnu à Will Smith pour ...

Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi