Affaire conclue - "Elle est inculte...", "Elle le fait exprès ?", "Deuxième objet, deuxième ânerie..." : les approximations de Marie du Sordet lors des ventes exaspèrent les internautes

Ce vendredi après-midi, France 2 a diffusé deux épisodes d'"Affaire conclue". Lors du premier épisode, Julia Vignali et les experts ont notamment reçu Vivianne qui est venue avec un brûle-encens originaire d'Indochine et Steve qui a apporté un tableau s'inspirant de "l'Assomption de la Vierge" par Nicolas Poussin. En salle des ventes, face à ces deux objets, la célèbre acheteuse Marie du Sordet a fait quelques approximations qui ont énervé les internautes...

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Dans le nouveau numéro d'"Affaire conclue" diffusé ce vendredi après-midi, la célèbre acheteuse Marie du Sordet a fait quelques approximations qui ont été remarquées par les internautes. (Capture d'écran France 2)

Pas le droit à l'erreur ! Ce vendredi, Julia Vignali a animé un nouveau numéro d'"Affaire conclue" sur France 2. Une fois encore, les curiosités d'antan et les merveilles artistiques se sont succédé sous l'œil de Julia Vignali et des experts du jour, Jérôme Duvillard et Harold Hessel et Marie Renoir. L'émission a été le théâtre de découvertes inattendues, avec des objets aussi variés qu'un brûle-encens originaire d'Indochine apporté par Vivianne et une interprétation de l'œuvre de Nicolas Poussin apportée par Steve. Les acheteurs François Cases Bardina, Johan Ledoux, Caroline Margeridon, Marie du Sordet et Stéphane Vanhandenhoven ont rivalisé d'acuité pour acquérir ces pièces historiques. D'autres objets ont attiré l'attention en salle des ventes : Philippe, un passionné de pétanque, est ainsi venu avec une boîte de jeux ayant appartenu à sa maman antiquaire qui avait une boutique rue Oberkampf, dans le 11e arrondissement de Paris. De son côté, Nicolas, un collectionneur de jouets anciens venu de Belgique, a apporté une élégante coiffeuse en bois clair designée par Cees Braakman, qu'il a chinée il y a un an dans un vide-maison.

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"C'est vraiment pas possible de manquer de culture à ce point..."

Vivianne a été la première vendeuse à se présenter sur le plateau. Cette passionnée de mode a présenté un objet ancien venu tout droit d'Asie : un brûle-parfum (pour l'appellation européenne), ou brûle-encens, qui a capté l'attention de l'expert Harold Hessel. Cet objet, au-delà de sa valeur esthétique, est imprégné de spiritualité. L'expert l'a longuement expliqué, le brûle-encens est utilisé depuis des siècles pour les rituels symbolisant la purification et la communication avec le divin. Le brûle-encens, par son artisanat délicat et son histoire riche, rappelle les échanges culturels profonds entre l'Orient et l'Occident et continue d'éveiller la fascination pour les traditions ancestrales et les pratiques rituelles. Ce brûle-encens, tout en bronze entièrement dépatiné, a été estimé 300 euros par Harold Hessel. En salles de ventes, les acheteurs ont été interpellés par l'objet et Marie du Sordet a interrogé ses collègues : "Comment on l'utilise en vrai ? Mais pour moi l'encens c'est des bâtons !" Une première remarque qui n'est pas passée inaperçue du côté des internautes.

Le tableau apporté par Steve, inspiré de "l'Assomption de la Vierge" par Nicolas Poussin, a quant à lui été l'objet d'une attention particulière de la part de l'expert en art Jérôme Duvillard. Nicolas Poussin est un peintre emblématique du classicisme baroque, célébré pour sa capacité à capturer la transcendance et l'émotion humaine. L'œuvre originale, reconnue pour sa représentation dramatique et sa profondeur spirituelle, a fait l'objet d'un nombre incalculable de reproductions et a inspiré une kyrielle d'artistes. Steve est donc venu avec un tableau datant du 18e siècle s'inspirant de l'oeuvre de Nicolas Poussin ! En salle des ventes, après les présentations, Marie du Sordet a lancé à Steve : "Vous venez nous voir avec une jolie icône : d'où vous provient-elle ?" La brocanteuse a été interrompue par Johan Ledoux : "Alors c'est un tableau religieux, chère madame, pas une icône." "Alors pourquoi ?" lui a rétorqué Marie du Sordet. "Parce que c'est sur toile et ce n'est pas forcément une icône..." Léger moment de flottement en plateau. Une nouvelle fois, les internautes ont remarqué cette nouvelle approximation de Marie du Sordet... et ils n'ont pas été tendres avec elle.