5 remèdes de grand-mère avec du gingembre

Qui ne connaît pas le gingembre ? En Occident, il entrait dans la composition de l'hypocras, un vin aromatisé avec différentes épices, très apprécié au Moyen Âge. Au XIIe siècle, la religieuse allemande Hildegarde de Bingen le préconisait aux hommes affaiblis afin qu'ils retrouvent la "santé". Depuis cette époque, il est considéré comme une grande plante aphrodisiaque.

Le gingembre intéresse beaucoup les chercheurs

Ses propriétés médicinales sont nombreuses, car il possède une grande variété de composés chimiques actifs. Son rhizome contient une résine riche en principes piquants et odorants tels que le gingérol et le shogaol, une huile essentielle, ainsi que de nombreuses vitamines et minéraux.

Beaucoup d'études scientifiques ont été réalisées sur cette épice hors du commun. Elles ont mis en évidence des propriétés anti-inflammatoires, digestives, antiémétiques (contre les nausées et les vomissements), anti-oxydantes. Mais également des vertus antalgiques, toniques, immunosti­mulantes et hypoglycémiantes (il régule le taux de sucre dans le sang). Tous ces bienfaits incitent les phyto-aromathérapeutes à conseiller le gingembre en prévention de certains cancers et pour limiter la progression de la maladie d'Alzheimer.

Le rhizome peut se consommer frais, séché, confit, cristallisé, en poudre ou sous forme d'extrait, en infusion ou en huile essentielle. N'hésitez jamais à en saupoudrer vos plats.

Quels remèdes de grand-mère ?

  • Une infusion

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