20h30 Le Dimanche - "Donneuse de leçons !", "Lamentable" : Carole Bouquet donne son point de vue sur la valeur travail et exaspère les internautes

Ce dimanche 18 septembre, les téléspectateurs de France 2 ont découvert un nouveau numéro de leur rendez-vous de fin de week-end : "20h30 Le Dimanche". Laurent Delahousse a invité des personnalités autour d'une thématique : le pouvoir des mots. Les mots, un thème en effet cher à Fianso, actuellement en tête d'affiche dans le film "Sous emprise" diffusé sur Netflix, à Benjamin Biolay, déjà en tête des ventes avec son nouvel album "Saint-Clair", à Fabien Roussel, venu faire le débrief de l'actualité et notamment de sa punchline autour du travail ou encore à Carole Bouquet, venue sur le plateau pour parler de son retour sur scène dans "Bérénice". Lors d'un moment d'échanges sur la valeur travail, l'actrice a sorti une phrase qui a exaspéré les internautes.

Quel est le réel pouvoir des mots ? Un pouvoir immense à en croire le panel d'invités que les téléspectateurs de France 2 ont pu découvrir sur le plateau de "20h30 Le Dimanche" ce soir, sur France 2. Au sommaire de ce nouveau numéro présenté par Laurent Delahousse, comme toujours, des invités provenant d'univers éclectiques. Cinéma, rap, théâtre, politique... une nouvelle fois, le programme fut dense ! Ainsi, on a pu retrouver l'actrice césarisée Carole Bouquet, de retour sur scène dans "Bérénice", l'iconoclaste Sofiane Zermani alias Fianso, Fabien Roussel, député et secrétaire national du Parti communiste français, venu pour débriefer l'actualité de la semaine (et sa punchline sur le travail qui a provoqué un véritable tollé à la NUPES) et Benjamin Biolay, qui a assuré le live de ce soir, qui caracole en tête des ventes avec son nouvel opus intitulé "Saint-Clair". L'émission a commencé par un entretien avec Carole Bouquet, qui vient de quitter les planches parisiennes de la Scala qu'elle occupe depuis jeudi dernier. L'actrice joue en effet, et pour la troisième fois, dans "Bérénice". Interrogée par Laurent Delahousse, Carole Bouquet n'a pas caché son bonheur de retrouver la scène et les beaux textes : "Il y a des textes qui me fascinent. C'est comme si j'étais pianiste et que j'aimais Bach ; c'est-à-dire que je pense que je le rejouerai tout le temps. (...) C'est une langue dont je ne me lasse pas" a-t-elle confié au journaliste. Plus tard dans l'émission, Fianso, qui rencontre un réel succès sur Netflix grâce à son rôle dans le film "Sous emprise" et Fabien Roussel ont rejoint l'actrice sur le plateau.

VIDEO - Découvrez la Minute de Laurent Delahousse

"Niveau zéro de la pensée"

Présent sur le plateau de l'émission, Fabien Roussel a été invité à commenter pendant cinq minutes l'actualité de la semaine. Une actualité politique essentiellement axée sur une punchline sortie par le député communiste le 10 septembre dernier, en marge de la Fête de l’Humanité : "Eradiquer le chômage en France, c'est sortir d'une France des allocations chômage, du RSA et des revenus de substitution. C'est garantir un salaire et un travail pour tous." À travers cette formule, l'élu a donc opposé la "gauche du travail" à la "gauche des allocs"... ce qui a provoqué de vives polémiques au sein même de la gauche et de la NUPES. Fabien Roussel a donc explicité de nouveau son propos sur le plateau ce soir. Interpellée par Laurent Delahousse au sujet de cette phrase mais aussi à propos de la valeur travail, Carole Bouquet a réagi : "Je crois que cette phrase met les pieds dans le plat. (...) Tout le monde rêve d'un travail, tout le monde, tout le monde rêve d'exister !". Le point de vue et cette sortie de l'actrice ont suscité de vives critiques sur Twitter.