États-Unis : un mystérieux trou en forme de rat à Chicago fascine habitants et internautes

On ne sait pas comment cette trace a pu être laissée. Certains habitants assurent qu’elle est présente depuis au moins 20 ans sur le trottoir.

Le « Chicago Rat Hole » a déjà fait le tour du monde. En l'espace de quelques jours, il a été vu plus de 5 millions de fois sur X (ex-Twitter) et s'est retrouvé à la une des médias américains.  - Credit:@WinslowDumaine
Le « Chicago Rat Hole » a déjà fait le tour du monde. En l'espace de quelques jours, il a été vu plus de 5 millions de fois sur X (ex-Twitter) et s'est retrouvé à la une des médias américains. - Credit:@WinslowDumaine

Des millions de vues sur les réseaux sociaux pour un trou. Depuis des jours, Chicago fait la une de l'actualité après la découverte par les réseaux sociaux d'une curiosité urbaine : un trou en forme de rat. Début janvier, un utilisateur du réseau X (ex-Twitter) – un certain Winslow Dumaine – a posté une photo alors qu'il déambulait dans les rues de Chicago (Illinois). Et pour accompagner cette photographie un peu particulière, un message tout en humour : « J'ai dû faire un pèlerinage au Chicago Rat Hole [le trou à rats de Chicago, en anglais] ».

Depuis, son post a été vu plus de 5 millions de fois sur X. De nombreuses chaînes de télévision locales n'ont pas hésité à relayer cette étonnante découverte, tout comme le très respecté New York Times qui s'est même fendu d'un reportage sur place. Résultat, le lieu est devenu un mini-mémorial. Des bougies ont été installées par des passants, d'autres y ont jeté des pièces quand certains ont installé une minuscule pierre tombale avec la photo d'un rat. Il faut dire que ce buzz secoue les habitudes du quartier résidentiel de Roscoe Village, situé au nord de la ville.

S'agit-il vraiment d'un rat ? De nombreux observateurs en doutent sérieusement. Plusieurs habitants jugent qu'il s'agit plutôt de l'empreinte d'un écureuil. Ce dont Winslow Dumaine convient parfaitement. « Il a l [...] Lire la suite

VIDÉO - Un retraité prend le métro parisien avec son rat de compagnie