Éric Larchevêque (Qui veut être mon associé ?) millionaire. Il se confie sur sa fortune qui lui permet “d’être libre”

L'entrepreneur de 50 ans, que l'on peut voir dans "Qui veut être mon associé" sur M6, aborde le sujet de sa richesse avec honnêteté dans le podcast Vlan! : "Ma richesse est évaluée par Challenge à 370 millions d'euros, mais je n'ai pas 370 millions d'euros sur mon compte. C'est très différent", précise-t-il. Une déclaration qui met en lumière la distinction entre la valorisation de ses actifs et sa liquidité.

Éric Larchevêque ne se laisse pas submerger par la course effrénée à la consommation souvent associée à la richesse. Au contraire, il insiste sur le fait que pour lui, la véritable liberté réside dans la capacité à faire ce qu'il souhaite : "Le fait de pouvoir acheter ce qu'on veut, sans se poser de question, c'est une liberté incroyable." confie-t-il. Il souligne cependant qu'il ne recherche pas les extravagances telles que voyager en jet privé ou accumuler des montres de luxe. Sa devise : "Cramer du pognon pour cramer du pognon, non"

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Malgré son aisance financière, Éric Larchevêque adopte une approche modérée de la dépense. Il reconnaît apprécier les plaisirs de la vie, mais uniquement lorsqu'il estime les avoir mérités. Ainsi, il évoque des vacances luxueuses passées en famille aux Maldives, mais affirme vouloir conserver l'aspect exceptionnel de ces expériences en évitant de les banaliser. Il explique : “C'était il y a trois ans. Mais, je me dis que je ne vais pas y retourner, car si j'y retourne, il n'y aura plus de plaisir, ça deviendra naturel et je me force à prendre des hôtels normaux, je ne suis pas tout le temps dans des palaces…”

Mardi 5 mars, sur BFM Crypto, l'entrepreneur a exprimé sa conviction envers le bitcoin, une cryptomonnaie dans laquelle il a converti la majeure partie de ses actifs. Pour lui, cette décision est motivée par une défiance envers les monnaies traditionnelles telles que l'euro et le dollar, qu'il estime vouées à l'échec à long terme. “Tout le fruit du travail de ma vie, si je devais l’avoir en euro...

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