Énora Malagré (M6): "De toutes les bande que j’ai connues, La Grande Semaine est la plus sincère"

Vous revoilà chroniqueuse dans une « bande ». En quoi celle-ci est différente ?

Énora Malagré : De toutes celles que j’ai connues, c’est la plus sincère, en ce sens que les gens, autour de la table, ne sont pas là par hasard. Ils sont journalistes ou artistes, et leur expertise est précieuse. Bienveillance, travail et humilité, on est au pays des Bisounours. C’est rare, et ça fait beaucoup de bien ! (Rires)

Et Ophélie Meunier en cheffe de bande, elle est comment ?

Elle est brillante, bosseuse, et sait fédérer son équipe. C’est une bonne « patronne », comme Marina (Carrère d’Encausse, ndlr) que je côtoie au Magazine de la santé, sur France 5. Je vis ma meilleure vie ! Si je le pouvais, je ne travaillerais plus qu’avec des femmes. Ça me repose ! (Rires)

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Il paraît que vous avez hésité à accepter ce poste. Pourquoi ?

Je trouvais qu’on m’avait trop vue, à une époque, et je voulais continuer à évoluer discrètement, en télé. Mais Régis Lamanna-Rodat, le producteur, a su trouver les mots. Et puis, je n’avais jamais travaillé pour M6, et je trouve que cette chaîne est encourageante et positive, malgré la nouveauté de la case et la concurrence qui sévit. J’espère que l’émission trouvera sa place, car l’équipe le mérite.

À cette table, vous avez un double rôle…

Je suis là, en effet, pour parler des femmes qui ont marqué l’actualité de la semaine ou qui m’ont touchée. Puis, je traite de tout ce qui peut apaiser les femmes en pleine crise de la quarantaine. Je suis dedans, personnellement, et ne le vis pas toujours très bien. Entre les sautes d’humeur, les doutes, les maux du corps… je teste tout ce qui peut adoucir un peu cette période.

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