On a écouté « Pulsar », le dernier album de L’Impératrice

Le groupe français de pop L'Impératrice (chanteuse Flore Benguigui) lors du festival musical écoresponsable We Love Green au bois de Vincennes en 2024.  - Credit:SADAKA EDMOND/SIPA / SIPA / SADAKA EDMOND/SIPA
Le groupe français de pop L'Impératrice (chanteuse Flore Benguigui) lors du festival musical écoresponsable We Love Green au bois de Vincennes en 2024. - Credit:SADAKA EDMOND/SIPA / SIPA / SADAKA EDMOND/SIPA

C'est de la disco-pop spatiale et sexy, incroyablement chic, qui fleure l'érotique. L'Impératrice revient ce vendredi avec un troisième album, Pulsar – du nom des corps stellaires qui émettent des faisceaux d'ondes radio à travers le cosmos –, aux sonorités pop, house et disco et dont les paroles inspirantes raviront tant le corps que l'esprit.

Il y a dans la musique de L'Impératrice un mélange du groupe Air, des Daft Punk sous l'ère Discovery et, sur les derniers projets, un peu de Juliette Armanet. Si les disciples instrumentistes de la French Touch se sont fait connaître sur de la pop-sucrée mielleuse à l'image d'« Agitations tropicales », premier single du deuxième EP aux plus de 80 millions d'écoutes, Pulsar promet une aventure interstellaire aux allures de dancefloor.

Ce dernier album se démarque avant tout par son invitation au voyage. De l'espagnol du premier single « Me Da Igual » (« ça m'est égal »), à l'italien sur « Danza Marilu » ( « Danse Marilu ») – en collaboration avec la chanteuse Fabiana Martone –, en passant par l'anglais avec le rappeur Erick the Architect ou encore la chanteuse Maggie Rogers, le groupe se donne de quoi répondre à son succès international, entre un passage électrique au Mexique, un concert sur la scène mythique de Coachella aux États-Unis, et plus d'une quarantaine de concerts prévus hors de nos frontières avant la fin de l'année.

À LIRE AUSSI Eminem, l'enfant terrible du rap, revient avec « Houdini »

Des paroles inspirant [...] Lire la suite