TF1 : Patrick Poivre d'Arvor a-t-il payé pour Claire Chazal ?

Dans ses mémoires sorties le 4 avril, Patrick Poivre d’Arvor revient sur son licenciement de TF1. Le journaliste estime avoir payé pour Claire Chazal. En partie, du moins. Dans Seules les traces font rêver paru aux éditions Robert Laffont, Patrick Poivre d’Arvor dessine en pointillé son CV au travers de ses rencontres et interviews pendant ses fastes années. Parmi eux, la campagne présidentielle de 2007 et la victoire de Nicolas Sarkozy qui, estime-t-il, a sonné le glas de sa carrière. Si l’on en croit Patrick Poivre d’Arvor, l’ancien président lui reprochait son indépendance. Tout comme il le soupçonnait de collusion avec Ségolène Royal pour un malheureux baiser à distance échangé à l’antenne. Mais ce n’est pas tout. Car dans son œuvre, PPDA livre aussi une explication inédite sur la dégradation de ses relations avec l’Elysée. Et révèle en creux avoir payé pour Claire Chazal, elle-même aujourd’hui menacée par Anne-Claire Coudray. C’est pages 223-224 qu’il faut aller chercher l’explication. Patrick Poivre d’Arvor revient sur la lutte qui a opposé la rédaction de TF1 à la direction de la chaîne en 2007. L’enjeu ? Le remplacement de Robert Namias, alors directeur de l’information. Un nom avait circulé : celui de Nicolas Beytout, alors en poste au Figaro. "Un bon camarade et un journaliste que je respectais, écrit PPDA. Mais un membre éminent de l’encadrement à TF1 avait dit publiquement qu’il ne voulait pas que la chaîne soit transformée en Pravda." C’est-à-dire une annexe de l’Elysée. Puis Patrick Poivre d’Arvor accuse nommément son ex-collègue : "Claire Chazal s’était rebellée car elle avait travaillé avec Nicolas et sa mère aux Echos et ne s’était pas à l’époque entendue avec eux. Toutes ces résistances me furent imputées." On connaît la suite : PPDA quitte TF1 en juillet 2008, Laurence Ferrari le (...) Lire la suite sur CloserMag.fr

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