Une singerie qui coûte cher

A Shimla, dans le nord de l’Inde, l’argent est tombé du ciel. Pendant près d’une heure, les passants ont tenté d’attraper des billets volants. Une chasse au trésor improvisée par un primate aux allures de Robin des Bois. En quête de nourriture, un singe s’est introduit dans un bâtiment en travaux. Ne trouvant rien à se mettre sous la dent, il a volé 10 000 roupies (125 euros) à un employeur qui comptait payer les salaires de ses ouvriers. Le voleur a ensuite gracieusement distribué son butin, perché sur le bâtiment, puis sur un arbre, alors que les ouvriers tentaient de l’attraper. Les singes sont nombreux dans la ville de Shimla, et sont fréquemment à l’origine de troubles à l’ordre public. Dégradations, vols de nourriture, harcèlement… à New Delhi, le gouvernement indien a même embauché une quarantaine d’«hommes-singes». Maquillés en macaques, ils imitent leurs cris pour éloigner les perturbateurs.



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