Rififi à l'Elysée : quand les femmes de ministres se tapent dessus

Rififi à l'Elysée : quand les femmes de ministres se tapent dessus

C'est décidément la débandade à l'Elysée. Après la fameuse affaire du "tweetgate" provoquée par la "first girlfriend" Valérie Trierweiler, c'est au tour des femmes de ministres de se tâcler. Après l'affaire du "tweetgate" qui a fait grand bruit pendant les élections législatives, vient celle du "commentaire peu sympathique lâché au détour d'une conversation". Et l'attaque vient cette fois-ci d'Anne Gravoin, femme de Manuel Valls, ministre de l'Intérieur, qui dans une interview au quotidient "Le Parisien" décoche une flèche légèrement empoisonnée à l'attention de Brigitte Ayrault, épouse de l'actuel premier ministre. Au cours de l'entretien qui aborde son statut de femme de ministre, la violoniste se demande pourquoi le journaliste a choisi de lui tirer le portrait. Une question à laquelle la violoniste trouve tout de suite la réponse : "C'est sûr que musicienne, c'est un peu plus glamour que Mme Ayrault, prof d'allemand dans la banlieue de Nantes", lâche Anna Gravoin faisant donc clairement référence au métier qu'a exercé la femme de Jean-Marc Ayrault jusqu'en janvier dernier. C'est peut-être plus glamour, mais ce commentaire, lui, est beaucoup moins classe.

Retrouvez cet article sur CloserMag.fr

Interview de Jamel Debbouze sur son Festival du rire de Marrakech
Divorce de Katie Holmes et Tom Cruise : qui pour garder Suri ?
Kate Middleton, dans la peau d’un SDF