Ce qu'il faut retenir de l'intervention de Montebourg en 5 vidéos

Arnaud Montebourg a voulu montré mercredi 24 janvier son déterminisme à défendre la compétitivité et le "Made in France". Mais c'est d'abord le changement de style qui a frappé. Le ministre est rentré dans le rang gouvernemental. Finis donc les discours contradictoires avec Jean-Marc Ayrault, les envolées lyriques et solitaires. Et cela est notamment passé par des confessions.



Le message à Carlos Ghosn

Arnaud Montebourg a écarté l'idée selon laquelle Renault pourrait s'affranchir de ses usines en France. "Il n'est pas possible qu'il y ait des fermetures de site, donc il n'est pas possible qu'il y ait le moindre chantage à la fermeture de site". Il a également adressé un message au PDG de l'entreprise concernant l'augmentation de sa rémunération : "Il n'est pas absurde de lui demander un effort".



Leçon de démondialisation

Arnaud Montebourg a retrouvé tout son panache face à l'essayiste Alain Minc, "apôtre de la mondialisation formidable heureuse", selon le ministre. Il a été question de protectionnisme et de pacte de compétitivité dans un duel courtois, ferme et souvent teinté d'ironie. Avec une invitation : "Mettez la marinière, cela vous irait à merveille".



Une solution pour la taxe à 75%

Même censurée par le Conseil constitutionnel, la promesse de campagne du candidat François Hollande visant à taxer les hauts revenus à 75% n'est pas totalement enterrée aux yeux d'Arnaud Montebourg. "Il faut trouver une formule de remplacement, respectueuse du droit, pour que ceux qui ont accumulé, participent au redressement national."



Wauquiez renvoyé à son bilan

La fiscalité et la politique industrielle ont agité le face-à-face avec Laurent (...) Lire la suite sur Le Nouvel Observateur

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