Cannes : l'interview de Gong Li

Par la rédaction de Puretrend.com Elle nous a fascinés dans "Mémoires d'une Geisha", surpris dans "Miami Vice", Gong Li est belle, très belle. Qu'elle soit sur les affiches du festival ou en vrai, sur la terrasse du Martinez, l'actrice chinoise reste d'une classe folle. C'est avec une mini-robe Lanvin et des lunettes Swarovski, que cette égérie l'Oréal nous avoue son addiction pour le foie gras et Roberto Cavalli. Rencontre. Comment se passe votre festival de Cannes ? Que je présente des films ou pas, le festival de Cannes reste un rdv incontournable pour moi, j'adore cette magie, cette effervescence. Le temps s'arrête pendant quelques jours afin de célébrer le cinéma, ce 7e Art, comme si plus rien ne comptait... Qu'est-ce qui vous a le plus marqué pendant le festival ? Ca me fait toujours rire la manière dont les gens m'appellent. À chaque montée des marches, j'entends crier "gong gong gong gong gong" ou "Li Li Li Li Li Li", et des fois ça s'alterne... Une chose est sûre, je n'ai pas besoin de surnom ! Vous avez monté les marches hier ? Oui et j'ai toujours l'impression qu'il s'agit de la première fois. Qu'est-ce que vous avez porté ? Une robe Roberto Cavalli, je suis fan de son travail. Quel est votre secret de beauté ? Je dors beaucoup, j'ai besoin d'un minimum de dix heures de sommeil. Le repos reste quelque chose de primordial pour moi. Si je ne dors pas assez, j'ai l'impression que ma peau ne se régénère pas. Et en plus de ça, je suis quelqu'un de très optimiste, je souris beaucoup, ce qui force mes rides d'expression à s'ouvrir au lieu de se fermer, c'est pour cela que je ne râle jamais, car être râleur ça finit toujours par creuser le visage. Avez-vous un rituel de beauté ? Oui, je suis une incollable des produits l'Oréal, j'utilise les crèmes de nuit en (...) Lire la suite sur purepeople.com

Gwyneth Paltrow, chic et sexy
Britney Spears, retour en grâce ?
Cannes - La new face du jour : Ezra Miller
Cannes 2011 : Les premiers mecs de la Croisette
Mélanie Laurent, Elodie Bouchez, Inès de la Fressange : Les Françaises s'offrent la croisette