Top Chef (M6) - Jorick, grand gagnant de la saison 15 ! "J'ai besoin de voir dans les yeux de mes proches qu'ils sont fiers"

Pourquoi as-tu souhaité participer à Top Chef ?

Jorick : Top Chef, c'était une "étape" un peu dans ma vie, dans ma carrière. J'avais besoin de me rechallenger, d'essayer de me remettre en danger. Ça fait six ans et demi que je suis avec Guillaume Sanchez et qu'on a une étoile Michelin. J'avais besoin de prendre du recul, de savoir où j'en étais, de repartir un peu dans la compétition (rires).

Quel était ton objectif en entrant dans la compétition ?

Je n'avais pas vraiment d'objectif parce que c'est un parcours tellement long, c'est un peu un marathon Top Chef (rires). Donc, j'avais plutôt l'objectif de rester moi-même, d'être fidèle à ce que je suis et de ne pas avoir de regrets. Et au pire, si je partais, de me dire : "OK, tu es parti sur un plat qui te ressemble".

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Tu pensais pouvoir aller aussi loin ?

C'est compliqué à dire… Je pense que quand on accepte Top Chef, en tout cas j'imagine, que chacun se dit : "Je pense que j'ai les armes pour pouvoir aller jusqu'au bout". Alors après, de le matérialiser, etc, c'est plus difficile. Mais oui, je croyais en ce que je pouvais faire.

C'était comment de faire équipe avec Stéphanie Le Quellec ?

Je crois qu'il n'y a pas beaucoup de mots pour expliquer la relation qu'on a eue et qu'on a aujourd'hui (rires). La cheffe Le Quellec, c'est une vraie rencontre, pas seulement dans Top Chef, c'est une vraie rencontre de vie ! Je crois qu'il n'y a pas beaucoup de mots pour définir la façon dont on s'est trouvés, l'osmose et la compréhension. C'est quelqu'un que j'admire beaucoup, qui m'a aidé à m'élever. C'était mon premier choix et du début à la fin, j'ai voulu le respecter.

Pendant toute la compétition, tu étais donné grand favori, souvent des sans faute, des coups de cœur. Je me demandais si ça n'avait pas été une pression supplémentaire pour toi ?

En fait, la position de favori, si on se décide de ne pas se la donner, on ne se la donne pas. Moi, quand j'ai vu à la deuxième semaine que j'étais en épreuve éliminatoire, je me suis dit : &q...

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