Zoë Kravitz demande le divorce
C'est fini entre Zoë Kravitz et son mari Karl Glusman. Après 18 mois de mariage, la star a confirmé à «People» avoir demandé le divorce.
A l'aube de l'investiture de Joe Biden, les derniers détails croustillants sur la vie privée du couple Trump sont racontés dans la presse américaine. L'occasion d'apprendre que les Biden dormiront dans la même chambre, à l'instar de Donald et Melania qui faisaient chambre à part.
La triste nouvelle tombait ce lundi 18 janvier : l'acteur et scénariste français Jean-Pierre Bacri est mort à l'âge de 69 ans d'un cancer. Parmi les nombreux hommages des célébrités à la star disparue, le couple formé par Marion Cotillard et Guillaume Canet a laissé paraître sa peine et sa colère.
Les deux amis et collègues de la chaîne M6 Stéphane Plaza et Karine Le Marchand se sont retrouvés en colocation pendant quelques semaines fin 2020. L'animateur a raconté cette cohabitation, mercredi dans "Culture Médias", qui s'est suivie pour lui de galères immobilières.
Alors que plusieurs photos des coulisses de la 42ème édition des Enfoirés ont été partagées sur la Toile, Jenifer n'apparaît sur aucune d'entre elles. Certains se demandent donc si la star sera bien présente sur scène. Une question à laquelle vient de répondre TF1.
Comme des dizaines de milliers de Russes, le président russe s'est plongé brièvement dans l'eau glacée pour célébrer l'Épiphanie et le Baptême du Christ.
Lola Marois cultive son côté rebelle. Alors qu'elle se trouvait dans un train, la comédienne de Plus belle la vie s'est amusée à retirer son masque. La femme de Jean-Marie Bigard a ensuite publié le résultat dans sa story Instagram.
Jean-Pierre Bacri est décédé à l'âge de 69 ans ce lundi 18 janvier des suites d'un cancer. L'un de ses médecins a évoqué son combat contre la maladie sur BFMTV. Non Stop People vous en dit plus.
La réouverture des établissements de restauration interviendrait au mieux le mardi 6 avril. Un nouveau coup dur pour la profession.
Le ministre de l'Education nationale assure que la proposition du Conseil scientifique de fermer une classe dès le premier cas positif au variant est une possibilité.
L’élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis avait suscité des réactions majoritairement positives en Afrique. Mais à quels changements concrets faut-il s’attendre dans la politique américaine ? Pour l’instant, même si le propos reste général, de grandes lignes sont en train de se dessiner. L’idée centrale pour Joe Biden est de restaurer les liens diplomatiques avec les institutions telles que l’Union africaine et les gouvernements du continent. C’est pour cela qu’il a promis d’organiser un sommet de chefs d’État africains, comme l’avait fait Barack Obama en 2014. Joe Biden veut manifestement tisser des liens directs avec ses homologues, à l’opposé de son prédécesseur qui en quatre ans de mandat n’avait fait aucun déplacement en Afrique. « Donald Trump s’était signalé par son indifférence et avait tenu des propos particulièrement insultants à l’égard d’un certain nombre de pays africains », souligne l’historien Pap Ndiaye, professeur à Sciences Po Paris et spécialiste des États-Unis. Selon lui, le programme de Joe Biden s’inscrit avant tout « dans la continuité des relations construites par Barack Obama ». Il s’agit en premier lieu « de restaurer des relations normales en réaffirmant les engagements au niveau de la démocratie, du développement économique ou encore des questions sécuritaires. » ► À lire aussi : Joe Biden veut se démarquer de Donald Trump dans les relations avec l'AfriqueLa priorité est donc de regagner une confiance perdue. Et même si côté américain, le propos reste général pour le moment en matière de politique étrangère, la nouvelle administration a tenu très vite à parler d’un engagement « respectueux » à l’égard de l’Afrique. Le terme à lui seul contraste singulièrement avec l’attitude affichée par Donald Trump. « Ce qui est clair, c’est que l’approche de Washington va changer beaucoup et c’est à un changement de ton que l’on assiste pour le moment », estime Jeffrey Hawkins, chercheur à l’Iris (Institut de relations internationales et stratégiques) et ancien ambassadeur américain à Bangui. Il relève que le premier point important du programme du nouveau président tient à la diaspora africaine. Joe Biden a en effet axé sa vision africaine dans un document de campagne dont le point important tient à l’importante communauté africaine installée aux États-Unis. Le nouveau président reconnait son importance « C’est la première fois que le président s’adresse directement à cette communauté », note Pap Ndiaye, pour qui « il est très significatif qu’un programme présidentiel américain parle spécifiquement à ceux qui sont originaires du continent africain ». « C’est une manière de leur montrer qu’ils sont considérés et respectés », estime Pap Ndiaye. Dans ce même document de campagne, Joe Biden se soucie en particulier de la jeunesse africaine : il veut revitaliser le programme Yali (« Young African Leaders ») qu’avait créé Barack Obama et qui est resté dans un relatif sommeil ces quatre dernières années. Yali permet à plusieurs centaines de jeunes Africains d’obtenir une bourse et de séjourner dans des universités américaines.L’un des autres points importants développés par le nouveau président concerne les restrictions de visa pour les ressortissants du Nigeria, du Soudan et de la Somalie (trois pays dans le collimateur de l’ex-chef de la Maison Blanche). Joe Biden entend annuler purement et simplement ces mesures. Le 46e président des États-Unis va diriger une administration qui fait une place importante à la diversité Si la numéro 2 du pouvoir Kamala Harris est d’origine jamaïcaine, l’Afrique ne sera pas en reste dans cette équipe. L’administration Biden comptera dans ses rangs deux enfants du continent, tous deux d’origine nigériane. Le premier d’entre eux, c’est Wally Adeyemo (39 ans). Ce natif du Nigeria, qui a grandi en Californie du Sud, sera futur secrétaire adjoint au Trésor. Il fut dans le passé le principal conseiller économique de Barack Obama. C’est la première fois qu’un Afro-Américain est nommé à une aussi haute fonction au sein de ce ministère régalien. Autre nomination à retenir : celle d’Osaremen Okolo. Elle a 26 ans. Elle est née de parents nigérians, et sera conseillère dans l’équipe de riposte au Covid-19.Mais en réalité, ce sont surtout deux autres noms qui doivent retenir l’attention : Linas Thomas Greenfield tout d’abord. À 69 ans, elle devient ambassadrice à l’ONU. Cette ancienne sous-secrétaire d’État pour l’Afrique, fut aussi en poste dans plusieurs capitales africaines et notamment à Monrovia où elle fut ambassadrice entre 2008 et 2012. « Elle devrait, selon Jeffrey Hawkins, redonner un élan nouveau aux opérations humanitaires et de maintien de la paix, d’autant, rappelle- t-il, que Donald Trump, vu sa méfiance vis-à-vis de l’ONU, a cherché à maintes reprises à couper ces budgets. »Samantha Power est l’autre figure importante pour l’Afrique de l’administration Biden. Cette ex-ambassadrice à l’ONU pilotera l’agence chargée de l'aide au développement (Usaid) dont le rôle sera renforcé, « là encore le contraste est saisissant avec la présidence de Trump, note Jeffrey Hawkins, Trump ayant tout fait pour réduire l'aide américaine, l'argent du contribuable devant servir, selon lui, d'abord aux Américains ».Dans l’équipe Biden, il y a bien entendu le futur secrétaire d’État Anthony Blinken, fin connaisseur de l’Afrique, lui aussi. Ce diplomate chevronné n'a eu de cesse de critiquer ces dernières années la diplomatie du président sortant. Enfin, la diplomate de carrière Dana L. Banks a, pour sa part, été nommée « Senior director » pour l’Afrique au sein du Conseil de sécurité nationale (NSC). ► À écouter aussi : Chris Fomunyoh: «Avec Biden il y aura une remodulation de la politique américaine en Afrique»
L'ancienne Miss France et étudiante en médecine a révélé qu'elle avait posé ses valises à Nouméa pour y vivre et travailler pour les trois prochains mois, au moins.
A l’occasion de son 57ème anniversaire, Michelle Obama a posté un selfie d’elle au naturel qui lui a valu une pluie de compliments. Et on comprend : l’ancienne First Lady est tout simplement magnifique !
Camille Lou, la star de la future série de TF1 Je te promets, profite de vacances bien méritées et ensoleillées avec son nouveau chéri, Romain Laulhe.
Le président américain sortant a annoncé, lundi soir, que les voyageurs venant d'Europe et du Brésil seraient à nouveau admis aux États-Unis à partir du 26 janvier. Mais quelques minutes après, l'équipe de Joe Biden, qui sera investi président le 20 janvier, a indiqué que les frontières américaines resteraient fermées. Le président américain Donald Trump a annoncé, lundi 18 janvier, la prochaine réouverture des frontières américaines aux ressortissants européens de l’espace Schengen, aux Britanniques, Irlandais ainsi qu’aux Brésiliens à compter du 26 janvier. Cette décision est liée à l’instauration, à la même date, d’une obligation de présenter un test négatif de dépistage du coronavirus à l’entrée sur le territoire américain, a indiqué le chef de l’État dans un communiqué.Quelques minutes plus tard, l'équipe de Joe Biden, qui prendra ses fonctions comme président des États-Unis le 20 janvier, a fait savoir que les frontières américaines resteraient bien fermées aux Européens et aux Brésiliens. "Ce n’est pas le moment de lever les restrictions sur les déplacements internationaux", a déclaré, sur son compte Twitter, Jen Psaki, qui doit officiellement prendre mercredi ses fonctions de porte-parole du nouveau président."Sur les conseils de notre équipe médicale, le (futur) gouvernement n'entend pas lever ces restrictions le 26 janvier", a écrit Jen Psaki sur Twitter. "D'ailleurs", a-t-elle ajouté, "nous prévoyons de renforcer les mesures de santé publique appliquées aux voyages internationaux pour lutter encore davantage contre la diffusion du Covid-19."Transition chaotiquePour ralentir la progression de la pandémie, Donald Trump avait fermé les frontières des États-Unis aux 26 pays de l'espace Schengen le 11 mars 2020, puis au Royaume-Uni et à l'Irlande le 14, avant d'en faire autant pour le Brésil le 24 mai.C'est un nouvel épisode d'une transition sans précédent dans l'histoire moderne des États-Unis, le président sortant Donald Trump entendant limiter au minimum les contacts avec l'équipe de Joe Biden. Donald Trump prévoit d'ailleurs de quitter Washington avant même la cérémonie d'inauguration de son successeur, mercredi.Les États-Unis font actuellement face à la pire phase de la pandémie que le pays ait connue à ce jour, avec plus de 20 000 décès sur les six derniers jours.Avec AFP
Le docteur François Braun estime que « les mauvaises habitudes du passé sont revenues » alors que le virus continue de circuler « à un niveau élevé ».
Les descendants des hippopotames du zoo privé de Pablo Escobar se sont multipliés au point de menacer l’écosystème local.
VOUS TEMOIGNEZ - Si toutes les personnes de plus de 75 ans peuvent se faire vacciner depuis lundi contre le Covid-19, obtenir un rendez-vous dans un centre de vaccination peut relever du parcours du combattant, faute de doses de vaccin disponibles.
Inconnu du grand public il y a encore quelques jours, le handballeur Gauthier Mvumbi est devenu l'espace d'un week-end la sensation du Mondial organisé en Égypte. Le joueur de la République démocratique du Congo s'est fait remarquer par son physique hors normes et ses bonnes prestations. Sa photo s'affiche partout sur les réseaux sociaux. Avec ses 137 kg pour 1,95 m, Gauthier Mvumbi, pivot de l'équipe de handball de la République démocratique du Congo, ne passe pas inaperçu. Depuis le week-end dernier, le joueur est devenu la sensation du Mondial de la discipline qui se tient actuellement en Égypte.Le Congolais a même attiré l'attention de la légende de la NBA Shaquille O'Neal, auquel il a été comparé physiquement. "Ils disent que tu es le Shaq du hand, comment ça va ?", lui a demandé sur son compte Instagram l'ancien pivot des Lakers (2,16 m pour 147 kg), resté célèbre pour avoir cassé plusieurs panneaux de basket avec son poids et sa puissance.À la suite de ce message, cet ex-assistant d'éducation dans un lycée, qui évolue à Dreux, en Nationale 2, la 4e division française, n'a pas manqué de faire le buzz. Une mise en lumière à laquelle il ne s'attendait pas. "Je n'étais pas prêt, vraiment", a-t-il a raconté à l'AFP, dans le jardin de l'hôtel du Caire où toute la délégation congolaise est logée. "C'est ma femme qui a vu le message et qui me dit : 'Shaq a envoyé un message !'"Même si Gauthier Mvumbi s'est fait remarquer par son physique hors normes, il s'est aussi illustré par ses bonnes performances. En seulement 11 minutes face à l'Argentine (défaite 28-22) et 14 face au Danemark (défaite 39-19), il a marqué 8 buts sur 9 tentatives. Cela n'a pas empêché les novices congolais de s'incliner lors des deux premiers matches de la compétition, mais sa domination sur la ligne des 6 m a suscité l'admiration des commentateurs argentins, qui l'ont surnommé "El Gigante" ("le géant"), puis des Danois."J'ai tout à gagner"Alors qu'il n'a plus joué depuis octobre en raison de la pandémie de Covid-19 et de la mise à l'arrêt des rencontres en Nationale, Gauthier Mvumbi profite de cette notoriété inattendue. Lui qui n'avait pas réussi à convaincre Créteil, en 2013, de le garder dans son centre de formation, a l'occasion d'enfin se faire connaître. "Cela ne s'est pas très bien passé", retrace celui qui est alors revenu dans son club formateur, Vernouillet, où il a fréquenté six saisons la N1. Avant de retrouver Dreux, sa ville d'origine, où il habite chez ses parents.Le joueur reconnait que son poids n'a pas été forcément un avantage et a pu freiner sa carrière. "J'ai toujours eu un physique... avantageux", dit-il dans un sourire. "C'est un atout aujourd'hui" parce qu'il l'utilise pour s'imposer au bord de la zone, mais cela lui a peut-être aussi coûté une place à Créteil. "Je pense que ça a dû être le mot d'ordre. J'étais avec Benjamin Pavoni, un entraîneur beaucoup axé sur le physique. Mentalement, je n'étais peut-être pas prêt non plus. C'est pour ça que ça s'est soldé par un échec."Fer de lance de l'équipe des Léopards, présente pour la première fois dans un Mondial, Gauthier Mvumbi est fier de représenter son pays d'origine. "J'ai tout à gagner : que ce soit en positif ou en négatif, on parle de nous", résume-t-il.Le "Shaquille O'Neal du hand" savoure cette revanche, tout en gardant la tête froide. "L'objectif, c'est de passer au second tour", a rappelé l'entraîneur adjoint de la RD Congo, Gabriel Bourguignon, à la veille du match décisif, mardi 19 janvier, face au Bahreïn. "L'idée, c'est de lui dire : profite de ce que tu as, mais reste sur ton objectif qui est d'être performant."Avec AFP
Les différentes positions de Donald Trump et de l'équipe Biden est une nouvelle illustration du décalage entre les deux camps.
Un épidémiologiste anglais alerte sur la présence d’une réaction buccale chez certains patients atteints par le nouveau coronavirus.