Zapping télé de la semaine #56 : Marie Kondo range le bureau d’un employé d’Ellen De Generes, Sarah Paulson n’a toujours pas vu Birdbox...

C’est reparti pour une nouvelle semaine de pépites télévisuelles ! Parce qu’il fait un peu trop froid pour mettre le nez dehors, on a préféré rester au chaud devant la télé. Prenez un plaid et une bonne tasse de thé avant de lire les lignes qui vont suivre. Et surtout, bonne dégustation.

#1 Sarah Paulson, la star de Birdbox… n’a toujours pas vu le film
C’est LE film qui cartonne sur Netflix en ce moment. Au point que la plateforme américaine a dû rappeler à l’ordre les spectateurs qui s’étaient bander les yeux pour faire comme les personnages de la fiction quitte à mettre leur vie (et celle d’autrui) en danger. Et pourtant, certains n’ont pas encore vu Birdbox, à commencer par l’une de ses actrices principales ! Invitée sur le plateau du Late Show de Stephen Colbert, Sarah Paulson (actuellement à l’affiche de Glass) a avoué qu’elle ne regardait jamais les films dans lesquels elle avait joué. Au moins, elle a une bonne excuse. Visionnez la vidéo à partir de 7 min 25.

#2 Marie Kondo range le bureau d’un des employés d’Ellen De Generes
Vous connaissez forcément Marie Kondo. La fée du rangement japonaise est devenue une véritable gourou. Elle a même une émission de télé-réalité, Tidying Up diffusée sur Netflix, dans laquelle elle met de l’ordre dans le lieu de vie (et la vie tout court) des participants. La jeune femme s’est invitée dans le bureau de Troy, l’un des auteurs du talk-show d’Ellen De Generes. Vous allez voir que l’espace de travail est littéralement envahi par des goodies et objets tous plus WTF les uns que les autres.

#3 Un présentateur de CNN tacle Donald Trump
C’est ce qu’on appelle faire une entrée remarquée. Pour lancer son émission The Lead jeudi 24 janvier dernier, Jake Tapper a taclé Donald Trump en une seule et unique phrase. “Let Them Eat Trump Steak !” (“Qu’il mange le steak de Donald Trump !”) a lâché le présentateur de CNN en faisant référence aux 800 000 employés fédéraux qui ne sont pas payés depuis plusieurs semaines à cause du “shutdown” aux États-Unis. Une pique qui ne risque pas de plaire à l’administration du président américain.