Yahoo Actualités Yann Barthès s’explique sur son départ de Twitter (X) : "J’ai reçu toutes les insultes possibles et imaginables"
Quelques mois après avoir annoncé que le compte X (anciennement Twitter) de Quotidien allait fermer, Yann Barthès s’est expliqué sur sa relation compliquée avec les réseaux sociaux.
Quotidien a tourné une page étonnante fin 2023. L’émission de TMC a en effet annoncé, dans son dernier message posté sur X (anciennement Twitter), qu’elle quittait ce réseau social. "Chose promise chose due ! Il y a eu des discussions dans notre rédaction, on s'est posé plein de questions : alors, on reste ou pas sur X ? Mais si on part mais qu'est-ce qu'on va devenir ? La vie vaut-elle la peine d'être vécue ? Mais quel est le sens de tout ça ?... Oui, bon, allez, hop, ça y est, c'est fini !", annonçait ainsi Yann Barthès dans un extrait vidéo de son émission.
L’impact des réseaux sociaux sur les émissions françaises
Dans un entretien accordé à nos confrères de Puremédias, Yann Barthès revient sur la difficulté de faire de la télévision à l’heure des réseaux sociaux. "Leur puissance rend tout le monde parano", regrette-t-il en précisant que l’équipe de Quotidien ne cesse de s’interroger "sur un mot de travers ou un éventuel bad buzz". "Ce qui pouvait passer à l’époque ne passe plus aujourd’hui", insiste-t-il en précisant que les réseaux sociaux ont même changé le comportement des attachés de presse américains. "Ils sont obsédés par une petite phrase qui pourrait être prononcée par leur talent Avant, quand on recevait un Américain au Petit journal, on s'amusait à leur faire dire "Fuck" parce que c'était interdit à la télévision américaine. Ils ne le font plus aujourd'hui. Ils savent que cette petite phrase sera reprise sur les réseaux sociaux et que ça va être vu aux États-Unis", détaille l’animateur.
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Les réseaux sociaux n’ont pas uniquement un effet négatif pour le petit écran. Yann Barthès raconte ainsi avoir quitté X car "ça allait le rendre malade". "Des bad buzz, je m'en suis pris, des insultes je m'en suis pris et je m'en prends encore. J'...
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