Yann Barthès contrarié par son audition à l'Assemblée Nationale : "J'ai eu l'impression d'être traité comme un chauffard"
Deux ans après sa dernière interview dans la presse, Yann Bathès a décidé de briser le silence à l'occasion du lancement de la nouvelle saison de Quotidien sur TMC demain, lundi 2 septembre. Pendant "près de deux heures", l'animateur et producteur du talk show qui cartonne toujours autant en audience s'est exprimé à coeur ouvert auprès de La Tribune du Dimanche, et a notamment annoncé que, sauf exceptions, les personnalités politiques ne seront plus invitées sur son plateau, à cause de leurs "éléments de langage" incessants.
Yann Barthès dénonce une audition commanditée par le RN
Au cours de l'interview, Yann Barthès a notamment été interrogé sur son agacement lorsqu'il a été auditionné en mars dernier par la commission d'enquête de l'Assemblée Nationale qui lui reprochait de boycotter le Rassemblement National - une décision prise en raison du boycott de Quotidien par le RN lors de ses meetings. "J'ai eu l'impression d'être traité comme un chauffard, alors que je respecte tous les feux rouges. C'est tout à fait normal de répondre aux députés. Mais le problème, c'est qu'une représentante de Bangumi avait déjà été entendue un mois auparavant par cette même commission. C'est le RN qui a demandé cette audition, et cela a été accepté par le président de la commission, Quentin Bataillon (Renaissance). Il s'est rendu ensuite sur le plateau de Touche pas à mon poste pour débriefer, en expliquant qu'il nous avait trouvés 'arrogants'. Personnellement, c'est lui que j'ai trouvé arrogant", estime l'ex-animateur du Petit Journal sur Canal+.
À lire également
Lire la suite sur Télé 7 Jours