Le projet était extrêmement attendu par les fans de Beyoncé. Homecoming, la captation événement de son concert événement à Coachella, vient de débarquer sur Netflix. Ce documentaire retrace la préparation de sa performance, et révèle de précieuses informations sur le parcours de la chanteuse, qui est d’ores et déjà entrée dans la légende.

Beyoncé est une personne passionnée par l’esthétisme

Il suffit de regarder ses clips ou son compte Instagram pour le constater. Alors, forcément, son show à Coachella était lui aussi basé sur un visuel très précis, pensé dans le moindre détail. Homecoming est majoritairement composé de la captation du concert, et il est impressionnant de voir à quel point rien n’a été laissé au hasard.

Un nom lourd de sens

Si le documentaire a été baptisé Homecoming, ce n’est pas pour rien. Ce nom symbolise le retour de Queen B sur scène, sa deuxième maison, après la naissance de ses jumeaux, Sir et Rumi. A l’origine, elle devait en effet se produire à Coachella en 2017, mais sa grossesse a changé ses plans. Pas question pour elle de prendre le risque de mettre ses bébés en danger lors de sa performance. Elle a donc repoussé sa participation.

Sa prestation a été inspirée par les HBCU

HBCU est un acronyme qui signifie Historically Black Colleges and Universities, soit les universités traditionnellement noires. Pendant son enfance, Beyoncé voulait absolument fréquenter l’une de ces écoles, même si son plan a changé lorsqu’elle est devenue l’une des Destiny’s Child et qu’elle a fait carrière. Elle a donc décidé de rendre hommage à ces universités à travers sa performance : “Je voulais apporter notre culture à Coachella, c’était important pour moi”, affirme-t-elle dans le documentaire.

Il lui a fallu huit mois de préparation

Beyoncé est une perfectionniste, elle n’hésite pas à prendre le temps qu’il faut pour préparer un clip, une performance. Dans le cadre de son concert à Coachella, il aura fallu huit mois de préparation : quatre mois consacrés à sa voix et quatre mois consacrés à la danse. Une telle performance juste après avoir donné naissance à des jumeaux a de quoi impressionner. Elle a notamment suivi un régime pour le moins drastique : “Pour atteindre mes objectifs, je me limite à ne plus manger de pain, de glucides, de sucre, de produits laitiers, plus de viande, plus de poisson, plus d’alcool…” Pas facile, donc.

Beyoncé a tout choisi elle-même

Les danseurs qui l’ont accompagnée sur scène, les matériaux des costumes, les lumières… Beyoncé a eu son mot à dire sur le moindre choix au sujet de l’esthétique de son concert. Décidée à donner le meilleur à ses fans, elle n’a rien laissé au hasard. Elle a reçu un précieux coup de main d’Olivier Rousteing, de la maison Balmain, pour les costumes.

Elle a dû subir une césarienne

Quelques mois avant sa performance, Beyoncé a eu une grosse frayeur : elle a failli perdre l’un de ses jumeaux et dû subir une césarienne de toute urgence : “J’ai développé de la toxémie, j’ai fait une pré-éclampsie et, dans la salle d’accouchement, le cœur de l’un de mes bébés s’est arrêté plusieurs fois, donc j’ai dû avoir une césarienne d’urgence”, confie-t-elle dans le documentaire.

A LIRE AUSSI
> Beyoncé : “Homecoming“, un doc et un album surprise taillés dans le diamant
> Afro-féminisme, concert «historique» et album live… Avec «Homecoming», Beyoncé déploie toute sa «force de frappe»
> Beyoncé détaille l’impitoyable régime qu’elle s’est imposée pour retrouver la ligne