Voilà comment MG veut contrer les nouvelles taxes sur les véhicules chinois

Bien que le constructeur ait des origines européennes, MG est désormais une marque chinoise. Ses modèles sont produits en dehors du vieux continent. Alors forcément, quand l'idée de surtaxer les modèles électriques produits en dehors de l'Europe arrive sur la table au Parlement européen de Bruxelles, le constructeur grince des dents. Dans une interview accordée au Parisien, le PDG de MG France, Julien Robert, a ouvert quelques pistes pour permettre à la marque de pérenniser son implantation dans l'hexagone.

S'appuyer sur ses véhicules hybrides, réduire les marges et les investissements ...

Si le constructeur, propriété du groupe Shanghai SAIC a commencé à faire parler de lui en France grâce à ses voitures électriques, notamment la MG4, aujourd'hui, il peut se vanter d'avoir aussi des moteurs thermiques et hybrides sur certains de ses véhicules. C'est le cas par exemple de la très attendue MG3, citadine hybride présentée au Salon de Genève l'année dernière. Proposée à partir de 19 990 € (même si le prix reste pour l'instant indicatif sur le site officiel du constructeur), et équipée d'un moteur hybride d'une puissance de 195 ch, le modèle avait fait grand bruit lors de sa révélation.
Si la surtaxe sur les voitures électriques importées se confirme, MG ambitionne tout de même de maintenir ses volumes de commande en France grâce à ses autres modèles. L'an dernier, le constructeur a réalisé 34 000 immatriculations. Cela représente 2 % du marché total des ventes de voitures à particulier.
Pour rester compétitif et espérer réaliser les...Lire la suite sur Autoplus