Viols de Mazan : cette décision choc de la victime au premier jour du procès
C'est une affaire à glacer le sang qui fait la une des journaux en ce lundi 2 septembre 2024, jour de rentrée scolaire. Aujourd'hui s'ouvre un procès retentissant à la cour criminelle du Vaucluse. Une cinquantaine d'hommes âgés de 26 à 72 ans affrontent pour la première fois à visages découverts une même victime, Gisèle Pélicot, 72 ans.
En novembre 2020, la septuagénaire a découvert, horrifiée, avoir été manipulée par son mari, Dominique, pendant une dizaine d'années. Ce dernier l'avait droguée à de multiples reprises à son insu avant de l'offrir en pâture à des hommes qui la violaient, de nuit, au domicile conjugal, à Mazan, commune située dans le département du Vaucluse.
Viols de Mazan : cette réclamation surprenante de l'avocat général
Le procès s'est ouvert sur une note fracassante ce matin. A la surprise de tous, l'avocat général a demandé que l'audience se tienne à hui clos. "Des photos circuleront, des vidéos seront à notre sens nécessairement visionnées et il apparaît que la publicité serait dangereuse pour les bonnes mœurs et porterait atteinte à la dignité des personnes, victimes comme accusés", a justifié le magistrat.
La victime s'est fermement opposée à la requête. "Elle souhaite que ce qu’elle a vécu se sache, et estime qu’elle n’a pas à se cacher, a fait savoir son avocat. Personne ne peut imaginer que ma cliente trouvera une satisfaction à l’exposition de ce qu’elle a subi".
Viols de Mazan : la décision (...)
"Ma femme dormait" : après ses JO de Paris incroyables, la difficile redescente de Teddy Riner
“Un geyser de m*rde” : les vacances de Géraldine Maillet et Daniel Riolo étaient vraiment pourries
Kamilya, 7 ans, fauchée à Vallauris : ces "décisions douloureuses" que ses proches ont dû prendre
François Hollande : une journaliste de Quotidien lui a trouvé un surnom sur mesure, ça amusera sûrement Julie Gayet
Céline Dion : sa prestation aux JO de Paris a donné des idées à Cyril Hanouna, et ça pique très fort