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Violée et peut-être enceinte, elle voit son père soupçonné du pire

Samedi 9 juin, Tammi Forsythe, une britannique en vacances de 33 ans, a été violée sur une plage déserte située à Malia (Grèce). Alors qu'elle s'est rendue au commissariat pour déposer plainte, la mère de famille affirme avoir été victime de la négligence du personnel de police durant l'enquête. Selon Tammi, c'est un énorme quiproquo qui aurait causé l'incompréhension des officiers : "Je leur ai dit que mon père était habillé tout en blanc, et ils ont cru que je disais que mon agresseur était habillé tout en blanc", s'est-elle souvenue.

Les investigations ont amené les enquêteurs à visionner les caméras de surveillance du bar dans lequel Tammi Forsythe a bu un verre avec son père Philip, âgé de 66 ans, le soir du viol. Ni une ni deux, c'est bien le père de la jeune victime qui a été soupçonné du viol, puis arrêté à tort par la police grecque, deux jours après l'effroyable événement : "Les policiers ont décidé depuis le début que mon père était le coupable, ils n'ont même pas fait d'efforts pour retrouver le vrai coupable", s'est-elle indignée.

Les officiers grecs négligents envers les touristes ?

Bien heureusement, les preuves scientifiques ont fini par parler, et les enquêteurs ont bien pu constater que l'ADN retrouvé sur Tammi Forsythe suite à son viol n'était pas celle de son père. L'homme de 66 ans a donc été relâché par les autorités : "Les mots ne suffisent pas à décrire à quel point nous sommes heureux que toute (...)

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