Touche pas à mon poste : Une ex-chroniqueuse maman après un dur combat, elle prend une grande décision pour son bébé
Voici les moments insolites de la semaine à ne pas manquer dans le monde animal.
Les vagues d'une plage de Rio de Janeiro, au Brésil, ont triplé de taille le 26 mars, après une semaine de fortes pluies, ce qui a réjoui de nombreux baigneurs malgré les risques.
Marcel Amont uni à Marlène, de dix-sept ans sa cadette : photos de leur mariage dans les Pyrénées, des larmes ont coulé
"Elle voulait à tout prix se marier" : Patrick Juvet a été en couple avec une star américaine de 19 ans
Selon le journal Libération, depuis 2017, au moins 18 moniteurs de conduite ont été condamnés pour des faits de violences sexuelles commis dans l'exercice de leur fonction.
Joe Biden a demandé vendredi à Moscou de "laisser partir" un journaliste américain arrêté en Russie, dont l'employeur, le Wall Street Journal, réclame pour sa part l'expulsion de l'ambassadeur et des journalistes russes en poste aux Etats-Unis."Laissez-le partir", a lancé le président américain à l'intention du gouvernement russe, face à des journalistes qui sollicitaient, à la Maison Blanche, sa première réaction publique sur cette affaire.Evan Gershkovich, reporter russophone âgé de 31 ans et reconnu pour sa rigueur, a été arrêté à Ekaterinbourg, dans l'Oural, pour des soupçons d'"espionnage"."Expulser l'ambassadeur russe des Etats-Unis, ainsi que les journalistes russes y travaillant, serait la moindre des choses", affirme de son côté le quotidien américain, dans un éditorial publié dans la nuit de jeudi à vendredi."Le moment choisi pour l'arrestation ressemble à une provocation calculée pour embarrasser les Etats-Unis et intimider la presse étrangère qui travaille toujours en Russie", a-t-il ajouté.Dans une lettre adressée au personnel vendredi soir, la rédactrice en chef du "WSJ" a assuré que tout serait fait pour "assurer la libération d'Evan" et a remercié ceux qui se sont mobilisés en ce sens ces derniers jours."Votre sécurité est ce qui compte le plus pour moi, et nous continuerons à la protéger, quel que soit l'endroit d'où vous effectuez vos reportages", a-t-elle ajouté."Evan est un membre de la presse libre qui, jusqu'à son arrestation, faisait son métier de journaliste. Toute suggestion du contraire est fausse", a encore écrit Emma Tucker, qualifiant les agissements de la Russie de "totalement injustifiés".Le Kremlin a mis en garde jeudi Washington contre toute forme de représailles visant les médias russes travaillant aux Etats-Unis après l'arrestation du journaliste américain pris, selon Moscou, "en flagrant délit" d'espionnage."Concernant la demande d'expulsion de tous les journalistes russes, le journal (le WSJ) peut dire cela, mais cela ne devrait pas se produire. Il n'y a simplement aucune raison pour cela", a déclaré vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, devant des journalistes. Il a ajouté que le journaliste américain "a été pris en flagrant délit (d'espionnage)" et que "la situation est claire". - Classée "secrète" -Evan Gershkovich a nié les accusations portées contre lui lors d'une audience devant un tribunal de Moscou, selon l'agence de presse étatique russe Tass. Le journaliste américain a néanmoins été placé en détention provisoire jusqu'au 29 mai, une mesure qui peut être prolongée dans l'attente d'un éventuel procès.Selon Tass, l'affaire a été classée "secrète", ce qui restreint la publication d'informations à son sujet.Seuls détails disponibles à ce stade: le FSB a annoncé avoir "déjoué une activité illégale" en arrêtant Evan Gershkovich à Ekaterinbourg, à une date non précisée.Son arrestation intervient dans un contexte de répression accrue en Russie contre la presse depuis l'offensive contre l'Ukraine, qui a fortement tendu les rapports entre Moscou et Washington.Elle fait également suite à un échange intervenu en décembre entre la star américaine du basket Brittney Griner, qui se trouvait en détention en Russie, et le marchand d'armes russe Viktor Bout, prisonnier aux Etats-UnisLa Maison Blanche a fustigé une arrestation "inacceptable" et sa porte-parole, Karine Jean-Pierre, a qualifié de "ridicule" l'accusation d'espionnage, tandis que le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken s'est dit "extrêmement préoccupé".bur/aue/rle/ube/lpa
Le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador a de nouveau demandé aux Etats-Unis qu'ils consacrent plus d'argent à la prévention de l'immigration irrégulière, vendredi, après la mort de 39 migrants dans l'incendie d'un centre de rétention à Ciudad Juarez.Les Américains veulent résoudre "des problèmes sociaux avec le seul usage de la force et ils ne s'occupent pas des causes", a déclaré le président mexicain au cours de sa conférence de presse quotidienne, avant son arrivée prévue pour la mi-journée à Ciudad Juarez, dans le nord du Mexique, à la frontière du Texas.Il a rappelé que son pays avait consacré 100 millions de dollars à des programmes sociaux au Salvador, au Honduras et au Guatemala, qui ont contribué selon lui à éviter des départs de migrants vers les Etats-Unis.Il affirme avoir constamment demandé à Washington de faire de même, en vain : "Ni avec le président Trump nous avons atteint cet objectif, ni maintenant avec le président Joe Biden".Le chef de l'Etat mexicain a cependant reconnu qu'un programme de visas provisoires adopté par le président Biden avait permis de "considérablement" diminuer le flux migratoire.Cinq personnes ont été arrêtées au Mexique dans l'enquête ouverte pour "homicide" après la mort dans la nuit de lundi à mardi de 39 migrants sous contrôle fédéral.L'incendie s'est déclaré quand au moins un migrant a mis le feu à des matelas pour protester contre une possible expulsion.Le personnel chargé de la sécurité du centre -fonctionnaires et agents de sécurité- n'a rien fait pour ouvrir la cellule, d'après le parquet.Parmi les morts figurent 18 ressortissants du Guatemala, sept du Salvador et du Venezuela, six du Honduras et un Colombien. Vingt-sept personnes ont en outre été blessées, certaines sont dans un état très graveaxm/st/lab/bds
Quinze personnes ont été blessées quand deux trains régionaux ont déraillé quasi simultanément vendredi dans le nord-ouest de la Suisse, a annoncé la police cantonale de Berne.Une forte tempête balayait la région au moment où se sont produits les deux accidents.Le premier train a déraillé vers 16h30 (14h30 GMT) à Lüscherz et le second environ vingt minutes plus tard aux alentours de Büren zum Hof, a déclaré à l'AFP une porte-parole de la police, Flurina Schenk.A Büren zum Hof, qui se trouve à une vingtaine de kilomètres au nord de Berne, neuf adultes et trois enfants ont été blessés, a confié Magdalena Rast, la porte-parole de la police cantonale, à la télévision publique suisse. Une personne a été grièvement touchée, avait peu auparavant dit sur Twitter la police cantonale.Les images de la télévision montrent des wagons couchés sur le flanc gauche et la cabine du conducteur encastrée dans un des poteaux métalliques soutenant les caténaires.- Tempête -Les vents soufflant en tempête, qui ont traversé la Suisse vendredi, sont probablement à l'origine du déraillement de Büren zum Hof, selon la compagnie de chemins de fer RBS (Regionalverkehr Berne-Soleure).Au moment précis du déraillement, une station de mesure située dans la ville voisine de Koppigen a enregistré une rafale de 136 km/h, a révélé Meteonews.Une dépression centrée sur le sud de l'Angleterre ce vendredi a généré des vents violents sur une partie de l'Europe dont la Suisse, souligne MétéoSuisse, faisant référence à la tempête Mathis. Les rafales les plus fortes ont généralement été accompagnées d'averses et d'orages.Le déraillement qui est survenu à Lüscherz a fait trois blessés dont le conducteur du train, a déclaré la police dans un communiqué. Elle a précisé que là aussi le vent soufflait fortement au moment du déraillement non loin de la gare de Lüscher.Une partie du train régional exploité par la compagnie Aare Seeland mobil (Asm) s'est couchée sur le flanc, en contrebas du talus où sont installés les rails. La caisse, autour de laquelle s'affairait des employés des chemins de fer portant des vêtements de travail orange fluo, ne semblait pas avoir été beaucoup déformée par le choc.Toutefois, des sapeurs-pompiers ont été dépêchés pour la désincarcération des personnes concernées, a précisé la police, ajoutant qu'au total 16 personnes se trouvaient à bord de ce train au moment de l’accident.- Précédents -La Suisse est réputée pour son réseau ferroviaire très dense, aux dessertes fréquentes et au maillage étroit.Des amateurs du monde entier vont aussi dans ce pays pour emprunter certaines lignes qui traversent des paysages exceptionnels dans les Alpes ou monter à bord de trains qui n'ont pas d'équivalent ailleurs dans le monde et arrivent à grimper des côtes très pentues.Si les accidents de train ne sont pas exceptionnels en Suisse, ils ne font en général pas un grand nombre de victimes.Ainsi, en 2021, au total huit personnes ont péri (sans les suicides) et 47 ont été grièvement blessées dans des accidents ayant impliqué des trains, selon les chiffres de l'Office fédéral des statistiques. "Dans l'ensemble, le nombre des victimes d’accidents ferroviaires a nettement diminué ces dernières décennies - malgré une augmentation des prestations de transport", note l'Office.La catastrophe la plus meurtrière de l’histoire du rail suisse s'est produite le 14 juin 1891. Un pont des Chemins de fer Jura-Simplon, construit par Gustave Eiffel, s'était effondré sous le poids d'un train bondé arrivant de Bâle. L'accident avait fait 73 morts et plus de 150 blessés.Et le 12 septembre 1982, à Pfäffikon près de Zurich, un train avait happé un autocar qui traversait sur un passage à niveau dont la barrière ne s'était pas abaissée.Trente-neuf personnes étaient mortes dans cette collision et seuls deux passagers du car avaient survécu à la catastrophe.apo-vog/bds/rjm
Axelle Laffont et son compagnon tennisman, Isabelle Ithurburu... Lancement de folie pour Sandra Sisley
Franck Ribéry : Sa fille Hiziya sublime dans un look très classe, ses parents valident !
Une enquête a été ouverte pour "injure publique envers personne dépositaire de l'autorité publique" après des propos de Jean-Luc Mélenchon sur l'unité Brav-M signalés par le préfet de police Laurent Nuñez, a indiqué vendredi à l'AFP le parquet de Paris, confirmant une information du Parisien.
Eva Green ensorcelante en petite tenue noire et cape brodée face aux Mousquetaires
La votation dimanche "pour ou contre les trottinettes en libre-service" à Paris, une première du genre, est un pari risqué pour la maire Anne Hidalgo, qui a voulu ce scrutin, sans soulever l'enthousiasme.Combien de Parisiens iront voter pour une consultation dont l'élue socialiste s'est engagée à suivre le résultat, alors qu'elle penche contre? Sur 1,3 million d'électeurs inscrits, le taux de participation reste la grande inconnue, un dimanche de marathon dans les rues de la capitale et après un mois de mars marqué par les manifestations et l'amoncellement des poubelles non ramassées."Peu importe le nombre", a balayé Anne Hidalgo, interrogée par l'AFP. Les "outils de démocratie participative s'améliorent en les utilisant", fait-elle valoir en rappelant que le budget participatif, marqueur de son premier mandat, n'avait en 2014 attiré que 40.000 votants, contre 215.000 en 2022."Tout ce qui peut permettre la démocratie, le dialogue, la concertation, la consultation, vaut mieux que les blocages et les replis sur soi", soutient encore la maire.Mais "avec l'actualité, les manifestations contre la réforme des retraites", une collaboratrice de l'Hôtel de Ville ne se fait "plus d'illusions sur le taux de participation".Et avec 203 bureaux de vote rassemblés dans 21 sites, le coût de l'opération sera "probablement indécent rapporté au nombre de votants", prévient-elle.La mairie indique que 1.270 agents seront sur le pont toute la journée. Le budget, "on le saura après", a dit Anne Hidalgo à l'AFP.Dans sa majorité, le malaise est palpable: ses alliés communistes et écologistes n'ont pas caché leur peu d'enthousiasme vis-à-vis de son initiative, annoncée mi-janvier après un ultimatum aux opérateurs.- Sujet "mineur" -"On a d'autres sujets à explorer", a ainsi dit le communiste Nicolas Bonnet-Oulaldj, citant les locations sur la plateforme Airbnb, un sujet sur lequel Anne Hidalgo s'était engagée à organiser un référendum après les élections municipales de 2020.Et alors que l'adjoint EELV aux mobilités, David Belliard, voulait chasser les 15.000 trottinettes sans protocole, il se retrouve à faire campagne "contre", tandis qu'une autre figure du parti, l'eurodéputée Karima Delli, a elle appelé à sauver les trottinettes.Les consultations doivent "porter sur des sujets d'envergure" et non pas un sujet "mineur", tacle le maire LR du VIe arrondissement Jean-Pierre Lecoq, pour qui "l'exécutif parisien ne cherche qu'à faire valider par un vote une décision qu'il a déjà prise mais qu'il ne veut pas assumer seul."D'où la position de l'opposition de droite de ne pas appeler au vote. "Plus l'abstention sera élevée, plus les Parisiens marqueront leur indifférence à l'égard de ce coup de com' d'Anne Hidalgo", assume le groupe LR et apparentés.L'Insoumis Laurent Sorel milite lui pour l'interdiction mais anticipe une "farce" au vu de "l'organisation bâclée de cette consultation", avec "quelques affiches çà et là et de timides réunions d'informations".- "Non-campagne" -Pour l'unique opposant de gauche du conseil municipal, qui dénonce "une manœuvre politicienne" d'Anne Hidalgo, cette "non-campagne" sert d'abord Clément Beaune, qui "en profite pour faire exister le parti présidentiel dans la capitale".Mercredi, le ministre des Transports, à qui l'on prête l'ambition de ravir la mairie en 2026, a en effet annoncé un plan destiné à réguler l'usage des trottinettes, regrettant au passage "qu'on ait caricaturé et simplifié ce débat"."Il y a zéro information, les arguments n'ont pas pu s'exprimer, il n'y a qu'un bureau de vote par arrondissement. Je regrette que ce sujet soit binaire", a lancé le ministre, qui n'a "pas beaucoup de doutes sur l'issue de ce référendum".Condamnés, les trois opérateurs à la jeune clientèle? Eux qui ont réclamé, en vain, le vote électronique pour ce scrutin soulignent que seulement 33% des 18-24 ans "ont déjà entendu parler de la votation", contre "77% des 50-64 ans et 90% des 65 ans et plus", selon un sondage Harris Interactive.D'un autre côté, ils sont les seuls à s'être mobilisés réellement, y compris avec des méthodes contestées: course offerte dimanche pour aller voter, influenceurs payés sur les réseaux sociaux..."Il y a déjà eu des surprises dans des élections", veut croire Erwann Le Page, directeur des affaires publiques de Tier, l'un des opérateurs.pyv/lbx/sla
Il reste finalement en prison: l'ex-champion paralympique sud-africain Oscar Pistorius, condamné pour le meurtre de sa compagne Reeva Steenkamp il y a dix ans, a vu sa demande de libération conditionnelle refusée vendredi.La procédure était entamée depuis des mois. L'an dernier, Pistorius a même rencontré les parents de sa victime pour une médiation, passage obligé avant une éventuelle libération anticipée.L'administration pénitentiaire avait assuré que la star déchue y était éligible.Mais à la surprise générale, la commission ad hoc réunie dans la matinée à la prison d'Atteridgeville, près de Pretoria, où l'ex-athlète aujourd'hui âgé de 36 ans est détenu, a estimé que ce dernier n'avait en fait pas purgé le temps minimal requis. "Le détenu n'a pas terminé la période de détention minimale, comme l'a décidé la Cour suprême d'appel", a expliqué l'administration pénitentiaire dans un communiqué. Selon la loi sud-africaine, un condamné pour meurtre est éligible à un aménagement de peine une fois la moitié de sa peine écoulée. Oscar Pistorius a été condamné en 2014 à cinq ans en première instance. Et finalement en 2017, après plusieurs appels, à treize ans et cinq mois. La Cour suprême d'appel, dans un mémo transmis à la commission et dont l'AFP a eu copie, a estimé que le décompte devait commencer à la date de la dernière décision, repoussant une possible libération à l'an prochain. "C'est une décision hors du commun, qui semble même invraisemblable", a déclaré à l'AFP Kelly Phelps, professeur de droit à l'Université du Cap.Selon elle, la procédure de libération conditionnelle a été lancée "précipitamment" et "n'aurait pas dû avoir lieu à cette date". - "Aucun remords" -L'avocate des parents de la victime a salué une décision prolongeant la détention de Pistorius au moins jusqu'en août 2024, date à partir de laquelle sa demande pourra être réexaminée. Mais "toute cette procédure a entraîné un traumatisme inutile pour les deux parties", a regretté Me Tania Koen. Selon les parents Steenkamp, l'ancien sportif n'a "montré aucun remords". La mère, June Steenkamp, qui s'est exprimée à l'audience tenue à huis clos, a déclaré à la presse ne toujours pas croire "à son histoire", estimant qu'Oscar Pistorius n'a jamais reconnu la vérité sur ce qu'il s'est passé le 14 février 2013.Aux premières heures de cette journée de la Saint-Valentin, Pistorius a tiré avec un fusil à travers la porte de la salle de bain de sa chambre. Reeva Steenkamp, mannequin de 29 ans, est tuée de quatre balles. Riche, célèbre, le sextuple champion paralympique était entré un an plus tôt dans la légende du sport en s'alignant avec les valides aux 400 mètres des Jeux olympiques de Londres, une première pour un double amputé."Blade Runner", son surnom en référence à ses prothèses de carbone, est arrêté au petit matin. Il plaide la méprise, dit avoir cru qu'un cambrioleur s'était introduit dans sa résidence ultra-sécurisée.Lors de son premier procès, retransmis en direct à la télévision en 2014, l'ex-star apparaît en pleurs, vomissant à la lecture du rapport d'autopsie. Il écope de cinq ans de prison pour homicide involontaire.Le parquet trouve la justice trop clémente, fait appel et requalifie en meurtre. La saga judiciaire tient les médias en haleine, le monde se passionne pour cette affaire hors norme.En appel, Pistorius se présente sur ses moignons pour tenter de gagner la sympathie du juge. Il est condamné à six ans d'emprisonnement.Le parquet estime encore une fois la peine insuffisante. En 2017, la Cour suprême d'appel le condamne à 13 ans et 5 mois de prison. Lâché par ses sponsors, ruiné, l'idole déchue vend sa maison pour payer ses avocats.cld-ub-ger/jt
Procès de Gwyneth Paltrow : elle le remporte, gagne 1 euro... et devient la cible des internautes
"Personne n’interdira à personne de parler de quoi que ce soit", y compris les retraites, lors de la réunion attendue la semaine prochaine entre la Première ministre Elisabeth Borne et les syndicats, a déclaré le ministre du Travail Olivier Dussopt vendredi sur Europe 1."La Première ministre a invité l’intersyndicale pour faire un tour d'horizon de tous les sujets, évidemment le sujet des retraites qui est au cœur de l’actualité, mais aussi d’autres sujets", a-t-il dit. "Personne n’interdira à personne de parler de quoi que ce soit", a souligné M. Dussopt en réponse au numéro un de la CFDT Laurent Berger, qui a averti que "si on (lui) dit: +vous ne pouvez pas en parler+ (..) ils sortiront de la salle ou alors on partira"."Nous verrons d'ici la semaine prochaine qui dans l'intersyndicale accepte de venir", a-t-il dit alors que la CGT a choisi vendredi matin sa nouvelle direction. "Il faut saisir cette occasion pour renouer un contact et voir sur quoi et comment il est éventuellement possible d’avancer", avec "prudence", a affirmé M. Dussopt. La réunion est envisagée pour mercredi alors qu'une nouvelle journée de mobilisation à l'appel de l'intersyndicale est prévue jeudi."Dans la mise en oeuvre de ce texte, il y a des sujets sur lesquels nous pouvons certainement avancer, que ce soit par ce texte ou par d'autres vecteurs. Je pense au déroulement des carrières, à la gestion du temps à l'échelle d'une carrière, que nous voulons aborder au travers de la loi sur l'emploi et le travail que j'aurai à présenter dans quelques semaines", a-t-il précisé.Il a répété que le gouvernement avait l'intention de "mettre en oeuvre le texte voté", sans vouloir préjuger de la décision du Conseil constitutionnel attendue le 14 avril sur la constitutionnalité du projet de loi adopté au Parlement après un recours au 49.3.Le Conseil Constitutionnel doit également se prononcer sur la recevabilité de la demande de référendum d'initiative partagée (RIP) lancée par la gauche."J'ai lu un certain nombre d'analyses de constitutionnalistes: même si le Conseil constitutionnel validait la demande de référendum, cela n'empêche pas la mise en oeuvre du texte tel qu'il a été adopté", a déclaré M. Dussopt."Le texte actuel voté permet le retour à l'équilibre en 2030", "un objectif qu'il était hors de question de perdre", a-t-il dit, indiquant qu'un "certain nombre d'amendements ont été adoptés pour améliorer le volet recettes".cac/grd/spi
Angelina Jolie au restaurant avec un célèbre milliardaire, pendant trois heures ! Du rapprochement dans l'air ?
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Campée dans le rayon pâtes d'un hypermarché de Villeneuve-la-Garenne, en proche banlieue parisienne, Saïda Chabani scrute les étiquettes, "obligée de regarder les prix" depuis leur envolée. Sa marque fétiche étant trop chère, elle se baisse pour prendre en rayon deux paquets de la marque distributeur. A 95 centimes contre 1,75 euro les 500 grammes de fusillis, c'est le premier paquet qui remporte le match de la lutte anti-inflation. "J'espère que ça va changer parce qu'on souffre", soupire la jeune femme de 28 ans, coordinatrice pédagogique dans une école de commerce."Je suis obligée de me limiter, de prendre le nécessaire: les pâtes, la sauce bolognaise, le riz... Les légumes, c'est très cher aussi mais c'est la santé donc pas le choix", détaille cette habitante d'Aubervilliers, qui a réduit ses passages aux rayons sucreries et boissons. Dans les allées de l'hypermarché Carrefour de Villeneuve-la-Garenne, ville plutôt populaire du département riche des Hauts-de-Seine, les chariots de courses s'arrêtent autour de l'ilôt des fruits et légumes à moins de 1 euro et près des têtes de gondole dédiées aux promotions.Dans les rayons, les petits prix du "défi anti-inflation", proposés par l'enseigne sont mis en valeur pour guider les clients dans leurs achats. La hausse des prix des produits vendus en grandes surfaces "atteint 16,2% en mars 2023 par rapport à mars 2022. Sur deux ans, l'inflation est de 17,7%", d'après un baromètre de Circana (anciennement IRI) publié mardi dans le média spécialisé dans la distribution LSA.Alors, pour geler les prix, des consommateurs ont recours à leur congélateur. "J'optimise mes repas. Si à un moment donné il y a une promo sur les poireaux, je vais faire deux ou trois recettes et congeler", explique Pascale Orvain, qui fait les courses pour son fils et elle. Face aux "prix qui ont terriblement augmenté", cette prévisionniste des ventes s'est mise à faire elle-même son granola et sa confiture. "Aujourd'hui, les clients sont tentés d'acheter des produits bruts et de les cuisiner (...) ça coûte moins cher. C'est vrai pour les produits d'hygiène également", confirme Stefen Bompais, directeur de la communication client chez Carrefour.Depuis le début de l'inflation au printemps dernier, les consommateurs dépensent en moyenne autant et "sont devenus des vrais experts des petits prix". "Les clients font des arbitrages extrêmement pertinents, ce qui leur permet d'acheter le même volume de produits, de dépenser le même budget, sans subir les oscillations de l'inflation", affirme-t-il. Un arbitrage qui consiste notamment à se tourner vers "les petits prix ou de marque distributeur 20 à 30% moins cher". - Achats reportés -Appuyé sur son chariot, lunettes en bout de nez, Medard Louisy, 72 ans barre soigneusement "yaourts" de sa liste de course et entoure ce qui lui manque: "lessive, levure de bière, moutarde, sel et classeurs". Sur son bloc-notes, chaque prix est consigné.Le sous-total: 51,75 euros. Il s'approche de la barre des 65 euros, son budget hebdomadaire."S'il y a un truc un peu cher, je renvoie à la semaine prochaine. Il faut faire avec", explique ce retraité de la fonction publique, qui touche 1.900 euros mensuels. La lessive - il lui en reste un peu - est sur la sellette.Dans ce contexte d'inflation inédite depuis les années 1980, même les ménages plus aisés se mettent à regarder les prix. Patrice Diernaz prend un pack de limonade et se tourne vers sa compagne. Yeux rivés sur son smartphone, Eliane Brossault s'apprête à lui donner l'ancien prix du pack, répertorié dans une application lors de leurs précédentes courses. Si ça a trop augmenté, il le reposera. "Jusqu'à maintenant, on ne faisait pas attention aux prix, on prenait ce dont on avait envie sans regarder l'étiquette", témoigne le retraité. Maintenant, "on va chez Lidl, Intermarché, on essaie de trouver les produits équivalents moins chers". Et pour la viande, les fruits et les légumes, direction le marché. "C'est plus facile sur le marché de diminuer la quantité qu'ici". En dehors de l'alimentaire, où les petits plaisirs sont sacrifiés, d'autres concessions sont nécessaires. Inès Filali, amie de Saïda Chabani, a dû rogner sur "tout ce qui est esthétique". "Avant j'allais plus souvent chez le coiffeur", témoigne l'élégante CPE (conseillère principale d'éducation) de 26 ans. Son salaire net de 1.700 euros lui permettait de "suivre le rythme avant l'inflation". "Mais là, ça suit plus". meh/lbx/roc
Christophe Rodriguez, directeur général de la Gendarmerie nationale, était l’invité de BFMTV ce vendredi soir pour parler du maintien de l’ordre en manifestation, notamment à Sainte-Soline où des scènes d’une grande violence se sont déroulées en marge de la manifestation contre les mégabassines.