Les tests salivaires arrivent dans les établissements scolaires de la zone C à partir de lundi, une semaine après celles de la zone A. Les écoles maternelles et les primaires seront les premières ciblées, en particulier celles situées dans les zones de fortes contaminations, indique sur Europe 1 Delphine Bürkli, maire LR du 9e arrondissement de Paris.
En publiant le rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, très compromettant pour le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, l'administration Biden semble avoir acté son rejet de l'homme fort de Riyad. Retour sur une déchéance annoncée. Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS) avait raison de redouter l’entrée à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden aux dépens de Donald Trump, alors qu’il avait tout misé sur une réélection du milliardaire américain, dont il était l’un des protégés.Au lendemain de la déclassification par Washington d'un rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, qui l'accuse d’avoir "validé" l'opération visant à "capturer ou tuer" le journaliste saoudien, MBS apparaît comme le grand perdant, sur la scène diplomatique du Moyen-Orient, de l'élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis.Le démocrate, qui souhaite "recalibrer" les relations entre Washington et Riyad en rompant avec la diplomatie de l’ère Trump dans la région, n’a jamais caché son hostilité à l’égard du jeune prince, notamment pendant la campagne présidentielle.Un désaveu public au retentissement internationalEt si Washington a décidé de ne pas sanctionner MBS, le désaveu public au retentissement international qu’elle vient de lui infliger ruine les efforts du fils du roi Salmane pour réhabiliter son image et celle de son pays déjà très écornées. Il s'agit d’un coup dur pour celui qui se présentait en Occident comme un prince ouvert et réformateur, déterminé à libéraliser, en douceur, un royaume rigoriste et ultraconservateur.Nommé ministre de la Défense, puis prince héritier en juin 2017 par le roi Salmane, sur le trône saoudien depuis janvier 2015, MBS, décrit comme impulsif et pressé, a connu une ascension fulgurante. Notamment grâce à son projet de transformation de l’économie saoudienne – trop dépendante du pétrole – et son engagement à lutter contre la corruption et le terrorisme.Mais ses initiatives ont été rapidement éclipsées par ses méthodes de gouvernance brutales et une dérive autoritaire à l’intérieur du pays. En quelques mois, il devient le dirigeant de facto du royaume wahhabite en le faisant passer d'une monarchie basée sur un consensus entre les différentes branches de la famille royale à un régime personnalisé dans lequel les pouvoirs sont concentrés entre ses mains.Ses offensives de charme et ses tournées à l’étranger sont très médiatisées et font quelque peu oublier les campagnes expéditives d’arrestations menées dans le royaume à l’endroit de membres de la famille royale, de militants des droits de l’Homme, d'intellectuels et de critiques.Des dérives plusieurs fois dénoncées par Jamal Khashoggi, qui s’était exilé à partir de 2017 aux États-Unis, dans des éditoriaux sans concession publiés dans le Washington Post.Mais c’est surtout la tempête internationale déclenchée par l’assassinat du même Jamal Khashoggi, le 2 octobre 2018, qui va ternir l’image de Mohammed ben Salmane, et remettre sur le devant de la scène médiatique le lourd bilan de la pétromonarchie wahhabite en matière de droits de l’Homme.Restriction des libertés d’expression et d’association, interdiction des rassemblements pacifiques, liberté religieuse hors islam inexistante, procès inéquitables, discrimination envers les femmes et la minorité chiite, exercice de la torture et peines de mort arbitraires… Si la nature répressive de la monarchie saoudienne, régie par une version rigoriste de la charia, la loi islamique, à l’égard de toute contestation interne a toujours été de rigueur, la situation s’est durcie depuis la montée en puissance du prince héritier.Un allié embarrassant pour les États-UnisAu niveau diplomatique, le bilan censé légitimer MBS sur le plan international est tout aussi négatif, alors que sur ce plan aussi, il a tenté la manière forte. "Qu’il s’agisse du bourbier yéménite qui est devenu un Vietnam aux portes du royaume, qu'il s'agisse encore de l’embargo musclé destiné à faire fléchir le Qatar, ou bien encore du coup de force contre le Liban avec l’affaire de la vraie fausse démission du Premier ministre Saad Hariri… Aucune de ses initiatives n’ont permis aux Saoudiens de renforcer leurs positions sur l’échiquier régional face à l’Iran", résumait il y a quelques mois Karim Sader, politologue et consultant spécialiste du Golfe, interrogé par France 24.Au Yémen notamment, où il avait engagé le combat en mars 2015, les rebelles houthis chiites, soutenus par Téhéran, résistent toujours à la coalition internationale, alors que le conflit a provoqué ce que l'ONU qualifie de "pire crise humanitaire du monde".Adoubé en mai 2017 par le président américain Donald Trump, alors en visite en Arabie saoudite, MBS lie sa diplomatie à celle de l'administration Trump, focalisée comme lui sur la menace iranienne. Il se rapproche de Jared Kushner, le gendre du président chargé du dossier moyen-oriental. Des relations privilégiées et un accès direct au bureau Ovale qui lui seront très utiles au moment de l’affaire Khashoggi.Alors qu’il apparaît désormais comme un allié embarrassant pour les États-Unis, le président Donald Trump le défend personnellement, pour assurer la caution saoudienne à son "deal du siècle" au Proche-Orient et à l'ouverture de relations diplomatiques entre certains pays du Golfe et Israël.Mais de leur côté, la presse américaine et le camp démocrate ne ménagent pas le fils du roi saoudien, qui finit par assumer "toute la responsabilité" de l'assassinat du journaliste tout en démentant en être le commanditaire.En octobre 2018, le magazine américain Newsweek dévoile un entretien inédit – et non daté – avec Jamal Khashoggi dans lequel ce dernier estime que MBS n’est autre qu’un "dirigeant tribal rétrograde", jouissant d’un pouvoir "autocratique" et ne recherchant aucunement une ouverture du régime saoudien à la démocratie. Le journaliste assure également dans cet entretien craindre pour sa vie.Jusqu’ici, Riyad n’a jamais révélé où se trouvait le corps du journaliste, qui n’est pas réapparu après un rendez-vous administratif au consulat saoudien d’Istanbul, le 2 octobre 2018.Avec la publication du rapport de la CIA, l'homme fort de la monarchie wahhabite n’est plus intouchable. L'arrivée à la Maison Blanche de Joe Biden, qui a multiplié les décisions défavorables à MBS (main tendue à Téhéran dans l'optique d’un éventuel retour dans l’accord sur le nucléaire iranien, restrictions sur les livraisons d’armes à Riyad), a sans doute fait perdre au prince le sentiment d’impunité dont il jouissait durant l’ère Trump.Reste à savoir quel sera l’avenir de MBS au sein du royaume, et si l’administration américaine n’est pas en train d’enclencher un processus visant à provoquer sa chute.
Amel Bent est restée sans voix ! Lors de ce 4e épisode de The Voice, un candidat a choqué les coachs et de nombreux téléspectateurs. En effet, après sa prestation qui n'a pas séduit le jury, l'homme est parti avant que la chanteuse ait pu lui donner son avis sur sa prestation. Un moment très gênant.
Emmanuel Macron est arrivé dans sa villa du Touquet (Pas-de-Calais) ce samedi 27 février, quelques heures après son épouse, Brigitte. La station balnéaire où le couple présidentiel a ses habitudes ne les avait pas accueillis depuis l'été dernier, où ils étaient venus voter pour le second tour des élections municipales.
Invité dans 20h30 le dimanche ce dimanche 28 février, Pierre Richard a partagé la vie de Danielle Minazzoli, mère de ses deux fils.
Ce samedi 27 février sur son compte Instagram, Sylvie Ortega Munos n'a pas du tout été tendre avec ceux qu'elle considère comme ses détracteurs. Elle s'en est même prise à la chanteuse Sheila qui n'a pourtant pas réagi à la dernière polémique mettant en cause son ancienne belle-fille.
TRANSPORTS - Une dizaine de trains ont été impactés
Ce samedi 27 février, Maeva Martinez a posté un long texte sur Instagram sensibilisant sa communauté de fans sur le post-partum et les complexes que peuvent avoir les jeunes mamans.
Emmanuel Macron s'accroche à son refus de confiner le pays. En attendant une embellie au printemps, il mise sur la vaccination des plus fragiles et sur des mesures locales.
Ce vaccin est perçu comme moins efficace que ses concurrents des laboratoires Pfizer-BioNTech et Moderna. A tort, explique l'exécutif, alors que la vaccination à destination des 50-64 ans avec des comorbidités vient de démarrer avec ce produit.
Le 12 mars prochain sera diffusée la vingt-deuxième saison de Koh-Lanta, baptisée Les armes secrètes. Vendredi 26 février sur Instagram, Laetitia, l’une des candidates, a annoncé avoir été hospitalisée.
L’Etna est à nouveau entré en éruption se dimanche, expulsant jets de lave et nuages de cendre.
Toujour aucun dénouement pour la disparition de Delphine Jubillar. Selon La Dépêche ce vendredi 26 février, son mari Cédric fait tout pour reprendre une vie normale.
Les secours sont arrivés très vite sur le petit îlot, au large de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, mais ils n’ont rien pu faire pour sauver le baigneur. L’homme de 57 ans, mordu à la jambe par un requin, n’a pas survécu à sa blessure. Il se baignait à moins de 100 mètres du bord, quand il a été attaqué. "Tout de suite, il y a eu un bateau, des bombardiers qui sont arrivés, il y a un monsieur qui a jeté une bouée de secours", relate Sophie Radotin, témoin de la scène. Une zone prisée pour les baignades et les sports nautiques L’attaque a eu lieu sur l’îlot Maître, très prisé des Calédoniens, le week-end. Il offre de larges zones autorisées à la baignade et aux sports nautiques. Dans l’après-midi, un requin-bouledogue a été observé près des plages, mais d’après plusieurs témoins, c’est un requin-tigre deux fois plus gros qui serait à l’origine de l’attaque. La sécurité civile mènera dès lundi 29 février des reconnaissances aériennes pour localiser l’animal. La Nouvelle-Calédonie a enregistré trois attaques de requin l’année dernière.
Ce vendredi 26 février sur TF1, les téléspectateurs ont assisté à d’incroyables duos dans l’émission Duos mystères. Le point d’orgue de la soirée a été atteint vers 22h30, lorsqu’une invitée inattendue est montée sur scène.
Le 26 février, Maeva Ghennam a révélé avoir été victime de sorcellerie. Selon, la jeune star des Marseillais une de ses connaissances aurait engagé une sorcière pour nuire à sa carrière. De quoi alimenter les spéculations chez les internautes !
Ex-star de Santa Barbara, Princess Bride, Forrest Gump et House of Cards, Robin Wright est mariée avec un Français, avec lequel elle partage un passion pour le PSG, comme elle l'a confié au magazine Public.
Voilà un mois et quelques cacahuètes que Shy'm a donné naissance à son premier enfant, le baby boy auquel elle a consacré une chanson sortie au mois d'octobre. En ce 28 février l'artiste a publié en story quelques instantanés sans bébé. Et sa silhouette va, à n'en pas douter, faire des envieuses...
Ce samedi 27 février, interrogée sur BFM TV par la journaliste Apolline de Malherbe, Clémentine Autain a évoqué le viol qu'elle a subi à 23 ans et la libération de la parole des victimes de violences sexuelles depuis 2017.
Sur le plateau de l'émission On est en direct, l'animatrice Karine Lemarchand a rappelé que l'ancien ministre Arnaud Montebourg était un très bon imitateur de ses confrères du monde politique. Pour autant ce dernier a refusé de se prêter au jeu, comme il l'avait fait cinq ans plus tôt lors du tournage de l'émission Une Ambition intime.