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Vendredi, la grève de la faim de 1 200 détenus «de sécurité» palestiniens en était à son quarantième jour.

Si quelques dizaines ont abandonné, 225 l’ont rejointe durant la visite de Trump dans la région. Selon l’Autorité palestinienne, certains sont en danger de mort. Pour les médecins du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), unique organisation autorisée dans les prisons israéliennes, ces détenus sont entrés dans «une phase critique». Elle appelle «les autorités et toutes les parties concernées à trouver une solution». Mais la situation ne semble pas émouvoir l’administration pénitentiaire. Ni le ministre de la Sécurité intérieure, Gilad Erdan (Likoud), lequel refuse d’examiner la liste des revendications présentées par les prisonniers : visites familiales plus fréquentes, soins médicaux du même niveau que pour les Israéliens, études supérieures par correspondance…

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