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On a vécu le plus grand moment de gêne de L’Amour est dans le pré

Dans L’Amour est dans le pré, on a assisté à un remake du Père Noël est une ordure… Ou presque. Roland a vécu un grand moment de solitude en recevant un cadeau pour le moins raté de la part de Michèle. Il faut l’avouer, de l’autre côté de l’écran, on a bien rigolé.

“Oh… Une serpillière…
– Non, c’est un gilet.
– Ahh oui, y a deux trous pour mettre les bras.”
Tout le monde connaît cette scène culte du Père Noël est une ordure entre Pierre alias Thierry Lhermitte et Thérèse campée par Anémone. Enfin, visiblement pas tout le monde puisque ça n’a pas eu l’air de choquer certains participants à L’Amour est dans le pré.
Lundi 24 juillet, deux nouveaux épisodes de l’émission de romance était diffusés sur M6. Honnêtement, on s’ennuyait un peu. Passé la visite des maisons des agriculteurs, les premières impressions devant les animaux de la ferme (même s’il y avait des agneaux trop mignons) et les dîners plus ou moins romantiques (une pensée émue pour les prétendants de Julie, qui ont eu droit au combo pizza-télé), ça manquait de piquant. Quand soudain, on a vécu l’un des plus grands moments de gêne de la saison, et certainement l’un de ceux qui nous a fait le plus rire.

Le cadeau de trop
Il y a souvent deux teams : celle qui adore recevoir des cadeaux et celle qui redoute au plus haut point le moment de déballer ses présents. En un instant, on n’était plus dans notre canapé à guetter la blague lourdingue ou l’ultime allusion sexuelle de Roland et sa “zigounette”, non. On avait les yeux rivés sur le cadeau parfaitement emballé de Michèle, qui n’était pas peu fière de gâter son montagnard. Et là, c’est le drame. Roland découvre un… Mais d’ailleurs c’est quoi au juste ? Un tablier comme le pense innocemment l’éleveur ? Pas vraiment.

Ahh oui, un gilet ! La couturière a réalisé un vêtement à motifs douteux qui aurait fait tomber Cristina Cordula de ses escarpins. Résultat, on a été téléporté devant le sapin de Noël, entouré de toute notre famille qui attend notre réaction face à ce pull informe – cet album d’un artiste ringard – ce vase immonde (rayez la mention inutile) qu’on ne voudrait pas offrir même à son pire ennemi.

Faire bonne figure, c’est tout un art
Forcément, en personne bien élevée que vous êtes, vous auriez certainement fait comme moi : un petit sourire forcé et un “merci” aussi franc que possible en espérant, que le désespoir ne se lise pas sur votre visage. C’est un peu ce qu’a fait Roland quoi qu’avec lui on ne sache pas vraiment ce qui est du lard ou du cochon. En tout cas, il en a profité pour embrasser – sur la joue évidemment – sa prétendante. Au moins, il n’a pas tout perdu et puis il a gagné une nouvelle serpillière.

Katia Rimbert