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Tuerie de Chevaline : ces mystérieux ossements retrouvés un mois avant le drame presque au même endroit

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C'est l'un des plus célèbres cold cases des annales judiciaires en France. Le mercredi 5 septembre 2012, un père de famille, Saad al-Hilli, sa femme, Iqbal, sa belle-mère, Suhaila al-Allaf, et un cycliste, Sylvain Mollier, sont sauvagement assassinés aux abords d'un chemin forestier près de la commune de Chevaline, dans le département de la Haute-Savoie. Seules survivent les deux fillettes du couple, Zainab, et Zeena. Impossible de mettre en lumière la chronologie des événements et encore moins d'identifier le tueur depuis lors. Si les indices ne manquent pas, les preuves restent insuffisantes. “Je pense que le nom du tueur est dans le dossier d’instruction, car on a ratissé extrêmement large. Mais le transfert de l’enquête vers le pôle Cold case n’est pas encourageant. Ce n’est pas un cold case : les investigations n’ont jamais cessé. Je le vois comme un aveu d’échec même si, évidemment, il y a encore beaucoup d’investigations, de recoupement à faire”, explique dans 20 Minutes Brendan Kemmet, auteur de L’affaire Chevaline, autopsie d’un crime parfait.

Onze ans après le drame, une nouvelle série documentaire en trois épisodes diffusée sur Canal + revient sur les faits. Co-réalisé par Imen Ghouali et Camille Bovier Lapierre, Sans issue : la tuerie de Chevaline nous ramène sur cette sombre route de la Combe d'Ire où le break BMW de la famille al-Hilli a été découvert. Un endroit sauvage, "paisible, un peu austère, un fond de (...)

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