Troubles bipolaires
Invité :
- Charles Laidi, psychiatre au sein des Hôpitaux universitaires Henri Mondor et membre de la Fondation FondaMental.
"Sous vaccin" à "l'efficacité moindre", effets secondaires plus notables… Depuis son entrée sur le marché européen, le vaccin AstraZeneca fait l'objet de nombreuses critiques et réticences. Mais une étude écossaise rebat les cartes. Explications.
Père de quatre enfants, Serge Gainsbourg a également été marié deux fois. Une première fois avec Elisabeth Levitzky puis une seconde fois avec Françoise-Antoinette Pancrazzi, dite Béatrice.
Ce vendredi 26 février, sur le plateau de C à vous, sur France 5, Bertrand Chameroy s'est inspiré d'une esquisse d'un reportage présenté par Anne-Élisabeth Lemoine pour titiller l'animatrice.
Lucie et Victoire vont-elles se rabibocher ? Samuel est furieux contre son père et souhaite porter plainte pour avoir drogué Lydie. De son côté, Morgane confie une petite mission surprise à Sandrine...
Juché sur une colline, surplombant la capitale régionale Mekele, le monument aux martyrs du Tigré a longtemps incarné la puissance militaire du Front de libération du Peuple du Tigré (TPLF), l'hégémonique parti local.
Mardi, un homme a pénétré dans le commissariat de Carpentras avec un couteau à la main. Son but : se faire arrêter pour passer la nuit en garde à vue, loin de chez lui et de sa femme qu'il ne supporte plus.
À Abou Dhabi, aux Émirats arabes unis, c‘est une édition très particulière de l'Idex qui vient de fermer ses portes ce jeudi, en fin d'après-midi. Le plus grand salon de l‘armement au Moyen-Orient est l‘un des rares au monde à avoir été maintenu. Une occasion donc pour l‘industrie mondiale de la défense de présenter ses nouveautés et de signer de nouveaux contrats. Un événement aussi symbolique avec la première participation d‘Israël, conséquence directe de la normalisation entre l‘État hébreu et la monarchie du Golfe. Avec notre correspondant à Abou Dhabi, Nicolas KeraudrenMalgré le contexte sanitaire actuel, les allées de l‘Idex à Abou Dhabi étaient pleines. Pour l‘industrie française de défense, la tenue de cet événement était primordiale. Comme l‘explique Benjamin Fafart, le directeur commercial de Teleflow, filiale du groupe Michelin : « Il est impératif pour la survie de notre industrie d‘être présent sur ce salon. » Un point de vue d‘ailleurs partagé par Marin Tollet du groupe Arquus, spécialisé dans les véhicules militaires. « C‘est le premier salon qui se tient depuis Milipol Paris en novembre 2019, souligne-t-il. Ça faisait donc très longtemps qu’on n'avait pas eu l‘occasion de renouer le contact avec les clients et avec nos partenaires industriels. » La participation des entreprises françaises à ce salon a d‘ailleurs été encouragée au plus haut niveau. « On a noté une très grande aide qui nous a été fournie par les services de l‘État. La ministre de la Défense elle-même a fait le déplacement. Une présence qui a été extrêmement appréciée », assure encore Marin Tollet.Ce salon était donc aussi un rendez-vous politique. À noter également, la première participation d‘Israël. « Le principal message de notre présence ici, c‘est que nous sommes en mesure de coopérer, observe Eitan Na‘eh, le nouveau chargé d‘affaires de l‘État hébreu à Abou Dhabi. Et je pense que nous pouvons apprendre les uns des autres. Nous sommes donc prêts pour une coopération dans tous les secteurs. »Avec un gros bémol toutefois. La délégation israélienne a dû annuler son déplacement pour cause de Covid. Nouveau record pour les dépenses militaires mondialesC'est un nouveau record pour les dépenses militaires mondiales en 2020 malgré la crise sanitaire et économique liée à la pandémie de Covid-19. Des chiffres qui émanent du rapport annuel publié ce jeudi matin de IISS, l’Institut international britannique d’études stratégiques.Sur l'ensemble de l'année 2020, les dépenses militaires mondiales se sont élevées à 1 830 milliards de dollars. Ce chiffre est en progression de 3,9% par rapport à 2019, qui était déjà une année record.Les Américains ont dépensé 738 milliards de dollars soit 40% des dépenses mondiales. La Chine occupe la seconde place avec 193 milliards de dollars, soit 10,5% des dépenses totales. Pékin a concentré ses dépenses militaires dans la marine en vue d’accroitre sa flotte. Une stratégie qui affirme ses prétentions territoriales en mer de Chine méridionale. Une réponse aux opérations américaines dans ce secteur, lieu de friction avec Washington.En Europe, les dépenses de défense sont également à la hausse de +2% en 2020 pour faire face notamment à la Russie, considérée comme une menace croissante depuis l’annexion de la Crimée en 2014.Cette tendance va se poursuivre en 2021, malgré la pandémie. Le Royaume-Uni, l’Allemagne et l’Italie ont annoncé une augmentation de leur budget de défense. L’orientation est la même pour la France. Dans sa loi de finances, l’exécutif français a inscrit une hausse de 1,7 milliard d’euros, pour atteindre un total de 39 milliards d’euros de dépenses militaires.
La jeune femme de 21 ans, qui avait rejoint le groupe Etat Islamique en 2015, souhaite rentrer au Royaume-Uni pour pouvoir contester sa déchéance de nationalité. La décision de la Cour suprême a été dénoncée par les associations de défense des droits humains.View on euronews
Invité sur le plateau de Touche pas à mon poste ce jeudi 25 février, Jean Dominici s'est confié sur la mort de Christophe Dominici, en faisant part de sa colère contre la psy et la femme de son fils.
Alors que l'administration Biden s'apprête à publier le rapport du renseignement sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, et que le nouveau président américain s'est entretenu avec le père du prince héritier Mohamed Ben Salmane, les relations entre Washington et Riyad semblent se dégrader. Décryptage avec Karim Sader, politologue spécialiste du Golfe. Au sommet de son influence et de son pouvoir sous l’ère Trump, le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane, dit MBS, n’est pas dans les bonnes grâces de la nouvelle administration américaine qui veut recalibrer ses relations avec Riyad.La Maison Blanche ne s’en cache pas et le président Joe Biden a préféré s'entretenir, jeudi 25 février, pour la première fois, avec le roi Salmane plutôt qu'avec son fils.De plus, Joe Biden, qui avait critiqué à plusieurs reprises pendant sa campagne les atteintes aux droits de l'Homme en Arabie saoudite, va également autoriser la déclassification du rapport du renseignement américain sur l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en octobre 2018. Un rapport rédigé six semaines après l’assassinat perpétré dans l’ambassade saoudienne à Istanbul, qui est potentiellement très compromettant pour Mohammed Ben Salmane."Il est indéniable que l’on assiste à la rupture avec la diplomatie américaine sous l’ère Trump vis-à-vis de l’Arabie saoudite, explique Karim Sader, politologue et consultant spécialiste du Golfe, interrogé par France 24. Toutefois, il faut être précis, car il s’agit surtout d’un changement d’attitude vis-à-vis d’une personne, à savoir le prince héritier Mohammed Ben Salmane, qui était 'le chouchou' de l’administration Trump"."Autre preuve de l’hostilité affichée vis-à-vis de la personne même de MBS, la décision on ne peut plus explicite consistant à choisir le roi Salmane comme interlocuteur, et non plus son fils qui avait une porte d’entrée presque intime dans le Bureau ovale, à travers le gendre du président Trump, Jared Kushner, réputé pour échanger avec lui quotidiennement".Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Joe Biden "a multiplié les décisions défavorables au prince hériter et à ses œuvres, comme la fin du soutien de la guerre au Yémen, ou encore la décision de retirer les Houthis de la liste antiterroriste américaine, qui était le dernier cadeau diplomatique offert par Donald Trump juste avant de quitter le pouvoir", rappelle Karim Sader. Sans oublier, ajoute-t-il, la main tendue par les États-Unis à l’Iran, dans l'optique d’un éventuel retour dans l’accord sur le nucléaire iranien.Autant de dossiers chers à MBS, dirigeant de facto de la pétromonarchie wahhabite, nommé par le roi Salmane prince héritier en juin 2017, qui après avoir connu une ascension fulgurante et une certaine notoriété en Occident a vu son image de réformateur se ternir peu à peu. Notamment en raison de ses méthodes de gouvernance brutale et une dérive autoritaire illustrée par des campagnes d’arrestations menées dans le royaume à l’endroit de militants des droits de l’Homme, des intellectuels et des critiques. Guerre au Yémen, embargo contre le Qatar... MBS a également collectionné les mauvais calculs sur le plan diplomatique, avant que l’assassinat de Jamal Khashoggi ne suscite une vague d'opprobre internationale contre l'Arabie saoudite et son homme fort.Lâcher MBS ? Reste à savoir si l’administration américaine peut arrêter de travailler avec celui qui est destiné à régner sur l’Arabie saoudite, et si les décisions de Joe Biden ne sont pas en train d’enclencher un processus visant à lâcher MBS et à provoquer sa chute.La question peut se poser, selon Karim Sader. "Cette rupture sonne la fin du sentiment d’impunité qui pouvait animer le jeune prince sous le prédécesseur de Joe Biden", estime-t-il. Alors que l’administration Trump avait ardemment défendu le prince hériter, allant jusqu’à le couvrir dans l’affaire Khashoggi et à relativiser sa responsabilité personnelle et directe, "ce blanc-seing ne semble plus d’actualité".MBS n’est pas dupe, il sait que cette ère est révolue, selon le politologue."Le prince héritier ressent la pression de la nouvelle administration, il a d’ailleurs lâché du lest sur un certain nombre de sujets, notamment au sujet de la réconciliation avec le Qatar, et la libération de la militante saoudienne des droits humains Loujain al-Hathloul, développe Karim Sader. MBS est pris en étau entre, d’un côté ce nouveau président américain qui va exiger de lui plus d’ouverture et de réformes, et de l’autre, la frange conservatrice du royaume qui reste hostile au changement et aux projets de modernisation du jeune prince".Si MBS ne peut plus compter sur le soutien de Washington, il se retrouvera dans une position très inconfortable politiquement. "S’il perd son allié américain, Mohammed Ben Salmane perdra beaucoup de crédit en interne, juge le politologue. Et ce, sachant qu’il a beaucoup d’ennemis qui l’attendent au tournant, à commencer par la frange conservatrice et par tous les princes qu’il avait publiquement humilié"."L’Arabie saoudite demeure un allié de premier plan des Américains"Toujours-est-il qu’en tournant publiquement le dos à l’homme fort du royaume saoudien, le président américain a jeté un froid sur l’avenir de la relation entre Washington et Riyad, et de l’alliance historique entre la première puissance mondiale et le premier exportateur de pétrole."L’Arabie saoudite demeure un allié de premier plan des Américains, et aucun des deux pays n’a intérêt à mettre un terme à cette alliance, assure Karim Sader. Toutefois, depuis plusieurs années déjà, l’Arabie saoudite n’a plus la même importance stratégique du point de vue des États-Unis".Notamment d’un point de vue énergétique. "Les États-Unis qui se sont lancés dans le développement des énergies non-conventionnelles, dont le gaz de schiste, sont arrivés à un stade de production qui leur permet de sortir de leur dépendance vis-à-vis du pétrole saoudien, précise-t-il. Une dépendance qui était le socle de leur alliance".Et de conclure : "Joe Biden souhaite rééquilibrer la diplomatie américaine dans la région et entre les différentes monarchies du Golfe, comme avait cherché à le faire Barack Obama avant lui. Qui dit rééquilibrage, ne dit pas rupture avec les Saoudiens, donc il s’agit plutôt de ne plus reconnaître à l’Arabie saoudite son rôle de puissance dominatrice dans le Golfe. D'autant plus que les États-Unis peuvent s’appuyer davantage sur les Émirats arabes unis, sachant que ce pays, comme d’autres dans la région, ont franchi le pas du rapprochement avec Israël".
Une plongeuse expérimentée est parvenue à photographier un gigantesque banc de mobulas au Mexique, livrant une série photographique exceptionnelle.
Anny Duperey revient à l'affiche d'une série, sur France 2 cette fois, La faute à Rousseau. L'occasion parfaite de se confier à Voici. Au cours de l'interview, la comédienne raconte comment Bernard Giraudeau l'a convaincue de devenir mère.
Le 25 février, le rappeur Crim's a été victime d'une tentative d'homicide. Deux hommes cagoulés lui ont tiré dessus avec des armes à feu. Son pronostic vital est engagé.
Si le sexe du deuxième bébé de Meghan Markle et du prince Harry n'a pas été dévoilé publiquement, il est fort probable que le couple de Sussex sache déjà s'il s'agit d'un garçon ou d'une fille, souligne le magazine allemand Bunte. Et il y a plusieurs raisons à cela...
Dans le match au sommet de la soirée de mercredi en NBA, Utah a donné un récital face aux Los Angeles Lakers, qu'il a laissé à 25 points pour s'imposer 114 à 89 et rester maître de la Conférence Ouest.
Plus de 60 combattants ont été tués vendredi dans la bataille à Marib au Yémen, la journée la plus sanglante depuis la reprise début février de l'assaut des rebelles contre cette province sous contrôle du pouvoir, selon des sources gouvernementales.
Selon la chancelière allemande, un document de type passeport vaccinal permettant aux résidents de l'UE de circuler d'un pays à l'autre devrait voir le jour peu avant l'été.
Dans une interview accordée à Gala.fr, Elisabeth Reynaud, auteure d'un livre sur la vie de Céline Dion, a pointé du doigt le flou qui entoure la vie amoureuse et sexuelle de la chanteuse. Si bien qu'elle se plait à l'imaginer amoureuse d'une femme.
Ce jeudi 25 février, Régis Laspalès fête ses 64 ans. L'occasion de revenir sur le duo qu'il a formé pendant trente ans avec Philippe Chevallier et sur les raisons de leur séparation en 2016.
Des cyber-escrocs ont usurpé l’identité de la chanteuse Alizée sur les réseaux sociaux pour arnaquer un de ses plus grands fans. Sa famille appelle l’artiste à leur venir en aide.