La Très Très Grande Classe (TF1) - Melha Bedia : "J’ai sauté une classe et décroché mon bac à 16 ans, mais je mettais le bazar..."

Avez-vous un jour, comme votre personnage, balancé tout ce que vous aviez sur le coeur, genre bras d’honneur ultime, et l’avez-vous aussitôt amèrement regretté ?

Melha Bedia : Ah oui ! Sur Paris et l’Île-de-France, je suis la reine du regret. Je suis très impulsive et, parfois, je ne réfléchis pas trop aux conséquences. J’ai aussi tendance à vite monter dans les tours : j’ai des origines algériennes, mais c’est vrai aussi sans doute pour les Bretons, c’est presque universel. Je suis un peu comme Sofia, mon personnage, je prends vite la confiance et je peux facilement tout lâcher, quitte à galérer pour assumer et remonter la pente. Mon rêve serait d’avoir 24 heures où je pourrais faire plein de bêtises, où Dieu et ma mère ne le sauraient pas. Comme manger tout ce que je veux sans grossir !

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Bref, mettre en mode pause votre sentiment de culpabilité ?

C’est ça. Pour moi, la culpabilité, c’est Dieu et ma mère !

Quels souvenirs gardez-vous de vos années lycée ?

Très bons. J’étais une très bonne élève. Eh oui, même moi, je suis choquée de m’entendre le dire. J’ai sauté une classe et décroché mon bac à 16 ans, mais je mettais le bazar. Ramzy, mon grand frère, me disait : « Fais ce que tu veux, tant que tu ramènes 16 de moyenne. » Banco ! Je ne manquais pas de respect aux profs, mais je les rendais un peu chèvres. Studieuse et déconneuse ! Je testais des vannes sur mes profs pour savoir si je pourrais un jour être humoriste ou pas.

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Et à la fac, vous avez fait des études d’anglais…

Oui, quatre jours ! Après, j’ai accompagné Diam’s en tournée pendant un an comme habilleuse-styliste et, d’emblée, elle m’a poussée sur scène en première partie pour faire de sketchs. ...

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