TPMP - "Totalement ridicule", "Vous tendez le bâton pour vous faire battre", "C'est un escroc" : Gilles Verdez a provoqué la colère des internautes après avoir donné son avis

Dans l'émission de TPMP de ce mercredi 16 octobre, Gilles Verdez a été épinglé par les autres chroniqueurs et par les internautes pour son avis tranché.

Margot R
Mis à jour
Lors de l'émission de TPMP de ce mercredi 16 octobre, Gilles Verdez a montré son désaccord sur la question d'un impôt sur les chiens. C'était le seul à ne pas avoir la même opinion des autres.
Lors de l'émission de TPMP de ce mercredi 16 octobre, Gilles Verdez a montré son désaccord sur la question d'un impôt sur les chiens. C'était le seul à ne pas avoir la même opinion des autres.

Personne n'est d'accord avec lui. Ce mercredi 16 octobre, Gilles Verdez était de nouveau sous le feu des projecteurs... et pas dans le bon sens. Dans le célèbre talk show de C8 présenté par Cyril Hanouna, TPMP, les téléspectateurs ont pu découvrir, comme chaque jour, leur lot d'actualités. Une d'entre elles a créé une véritable polémique sur le plateau, notamment à l'encontre du chroniqueur Gilles Verdez. L'animateur star de la chaîne commence par expliquer qu'il existe en Allemagne un impôt sur les chiens qui rapporte 421 millions à l'État. "Si on faisait ce calcul en France, ça rapporterait 8,8 milliards" explique t-il. Autour de la table des chroniqueurs, tout le monde se dit contre cette mesure... sauf Gilles Verdez, qui affiche un grand "Oui".

"Il est pour les fraudes, il est pour tout, ah mais franchement Gilles, je vous jure, vous êtes incroyable" se moque Cyril Hanouna. Mais le chroniqueur se défend : "C'est extraordinaire, c'est une source de revenus incroyable (...) Selon les villes, selon les races, c'est progressif. Par exemple, un chien dangereux, c'est 600 euros. Un petit chien, c'est moins cher." Cyril Hanouna continue de se moquer : "Vous vous rendez compte si on taxait sur les conneries ?" Gilles Verdez explique que pour lui, il s'agit de la solution miracle pour que le gouvernement trouve de l'argent. Au contraire, les autres chroniqueurs considèrent que cette mesure est scandaleuse. Isabelle Morini-Bosc s'insurge : "Le coût d'une opération peut aller jusqu'à 5000 euros. Donc toi, tu veux en plus leur coller un impôt. C'est dégueulasse."

La minute de Cyril Hanouna

Guillaume Genton enchaîne : "J'ai l'impression que l'Etat n'a plus d'idée pour racketter les Français. Arrêtez de racketter les gens. Un chien, ce n'est pas un objet, c'est un être vivant qu'on aime, dont on s'occupe, qu'on garde avec nous." Fabrice Di Vizio y va également de son point de vue : "Je vis dans un pays où c'est l'inverse qui est fait. En Italie, vous avez 19%, en fonction des revenus, du montant des frais vétérinaires qui sont déductibles fiscalement. Et vous avez une prime pour aider les propriétaires d'animaux." Tout le monde s'en prend au chroniqueur : "Vous n'aimez rien, vous n'aimez pas la France" accuse Cyril Hanouna. Fabrice Di Vizio enfonce le clou une dernière fois : "Je me suis dit : c'est pas possible, il y a pas un con dans ce pays qui sera favorable à cette mesure ?" Gilles Verdez finit par se défendre : "J'ai un chien depuis une semaine". Mais cette justification ne suffira pas à convaincre, ni sur le plateau, ni sur les réseaux sociaux où le chroniqueur en a également pris pour son grade.

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