Dans « Top Chef », la venue de JoeyStarr sur l’épreuve du fromage fondu n’a laissé personne de marbre

JoeyStarr, ici dans « Top Chef », mercredi 22 mars.
JoeyStarr, ici dans « Top Chef », mercredi 22 mars.

TÉLÉVISION - « Dis donc, t’as faim mon cochon. » Cette phrase, on la doit à JoeyStarr qui, ce mercredi 22 mars, était l’un des invités du quatrième épisode de Top Chef sur M6, aux côtés des humoristes Nora Hamzawi et Pablo Mira, ainsi que du critique culinaire François-Régis Gaudry.

Ensemble, ils ont dû évaluer les propositions des candidats, dont la mission était de « transformer la pulsion en émotion ». En binôme avec Léo, Jacques devait régaler les papilles du rappeur sur son plaisir coupable : le fromage fondu. « Allez, du rythme, ce matin, les gars », a-t-on entendu JoeyStarr leur lancer. L’artiste, à qui on a notamment servi une tarte au munster, a prêté un coup de main aux deux candidats en leur tendant le chalumeau.

Mais il a surtout secoué les cuisines de Top Chef par ses punchlines. « Il faut qu’on ait ton aval à chaque fois ? » a-t-il lancé à Stéphane Rotenberg, quand ce dernier l’a invité à goûter la croquette imaginée par Mathieu et Alexandre.

« Là, on l’entend plus, ta grande gueule », a-t-il ensuite dit à François Régis Gaudry, avant d’apostropher un des candidats : « Je t’ai vu arriver comme un enfumeur. En tout cas, ça matche mortel. »

JoeyStarr en cuisine

Des petites phrases qui ne sont pas passées inaperçues chez les téléspectateurs, comme en témoignent leurs réactions sur les réseaux sociaux :

D’autres se sont interrogés sur sa présence.

Tout le monde ne le sait pas, mais JoeyStarr est un grand passionné de cuisine. L’artiste de 55 ans a récemment imaginé une série de plats, dont une soupe de crabe au lait de coco et une bavette de bœuf chimichurri, pour le restaurant parisien du Printemps Haussmann, Bleu Coupole. Il est aussi à l’origine d’un magazine culinaire (Five Starr) et d’un guide intitulé Bistronomik, dans lequel il partage ses adresses coup de cœur à Paris, en Martinique et au Pays basque.

« Je n’ai jamais pris de cours de cuisine, mais j’ai beaucoup appris au contact des producteursJ’aime les histoires que m’ont racontées les artisans, comme le charcutier Éric Hospital, le chef Julien Duboué ou le boucher Hugo Desnoyer » a récemment expliqué au Parisien celui qui revendique une cuisine « bistronomique, accessible à tous et rapide ».

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