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Tony Yoka et Estelle Mossely ont divorcé, annonce le boxeur

Tony Yoka et Estelle Mossely, ici en décembre 2018, sont parents de deux enfants.  (Photo: Benoit Tessier via Reuters)
Tony Yoka et Estelle Mossely, ici en décembre 2018, sont parents de deux enfants. (Photo: Benoit Tessier via Reuters)

PEOPLE - Il reconnait lui-même que c’est “une annonce qui n’est pas simple”. Le boxeur Tony Yoka a annoncé dimanche 31 octobre qu’avec sa femme Estelle Mossely, ils sont “divorcés depuis quelques mois maintenant”.

Les deux champions olympiques de Rio 2016, qui s’étaient mariés en janvier 2018, sont parents de deux enfants, Ali et Magomed. “La priorité restera leur bien-être”, écrit le poids-lourd dans une publication postée sur Instagram. Il remercie aussi son ex-femme pour la période de leur vie qu’ils ont partagée.

Le couple avait déjà connu une rupture. C’était en octobre 2019. Dans un même message Estelle Mossely annonçait qu’elle était enceinte de son deuxième enfant mais que les deux parents se séparaient. Ils avaient cependant accueilli leur deuxième enfant ensemble quelques mois plus tard.

Objectif Paris 2024 pour Estelle Mossely

Cinq ans après que la France a découvert ce “couple en or” lors des Jeux olympiques de Rio, la carrière des deux champions se poursuit en parallèle. Tony Yoka vise à moyen terme un titre de champion de monde du lourd. Mais la route est encore longue pour celui qui n’a pas encore perdu de combat chez les professionnels qui n’a toujours pas affronté d’adversaire de top niveau.

Quant à Estelle Mossely qui est, elle aussi, encore invaincue chez les professionnels, l’objectif est différent: conquérir une deuxième médaille d’or aux Jeux olympiques. Elle espère en effet se qualifier pour les JO de Paris en 2024.

“L’envie revient et se dire que c’est chez soi, ça a fait basculer, et m’a fait dire qu’il fallait que je le fasse. Peut-être qu’après cela j’arrêterais, qui sait. Pour les trois prochaines années qui arrivent, mon objectif est les Jeux olympiques, c’est le doublé olympique. Les JO oui, mais je vise l’or, je ne vise que l’or”, a-t-elle déclaré fin octobre à 1000 jours de l’ouverture de l’événement parisien.

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Cet article a été initialement publié sur Le HuffPost et a été actualisé.

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